Oedipe. Brutus. ZaïreImprimerie d'A. Égron, 1816 |
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9 ÆäÀÌÁö
... sentiment autorisé par le peu de cas qu'on fait de Bérénice , par l'estime où est encore le Cid . Il est vrai que le Cid est plus touchant que Bérénice ' ; mais Bérénice n'est condamnable que parce que c'est une élégic plutôt qu'une ...
... sentiment autorisé par le peu de cas qu'on fait de Bérénice , par l'estime où est encore le Cid . Il est vrai que le Cid est plus touchant que Bérénice ' ; mais Bérénice n'est condamnable que parce que c'est une élégic plutôt qu'une ...
16 ÆäÀÌÁö
... sentiment . Les Grecs , quibus dedit ore rotundo Mus a loqui , nés sous un ciel plus heureux , et favorisés par la ... sentiments lents ou impélueux de l'ame . De cette variété de syllabeset d'intonations résultait dans leurs vers , et ...
... sentiment . Les Grecs , quibus dedit ore rotundo Mus a loqui , nés sous un ciel plus heureux , et favorisés par la ... sentiments lents ou impélueux de l'ame . De cette variété de syllabeset d'intonations résultait dans leurs vers , et ...
21 ÆäÀÌÁö
... sur quelques autres points ; mais ce serait peut - être marquer un dessein de l'attaquer personnellement , et faire soupçonner une malignité dont je suis aussi : éloigné que de ses sentiments . J'aime beaucoup mieux profiter D'OEDIPE . 21.
... sur quelques autres points ; mais ce serait peut - être marquer un dessein de l'attaquer personnellement , et faire soupçonner une malignité dont je suis aussi : éloigné que de ses sentiments . J'aime beaucoup mieux profiter D'OEDIPE . 21.
22 ÆäÀÌÁö
Voltaire. éloigné que de ses sentiments . J'aime beaucoup mieux profiter des réflexions judicieuses et fines qu'il a répandues dans son livre , que de m'engager à en réfuter quelques - unes qui me paraissent moins vraies que les autres ...
Voltaire. éloigné que de ses sentiments . J'aime beaucoup mieux profiter des réflexions judicieuses et fines qu'il a répandues dans son livre , que de m'engager à en réfuter quelques - unes qui me paraissent moins vraies que les autres ...
41 ÆäÀÌÁö
... sentiments .... JOCASTE . Que je suis malheureuse ! Tu connais , chère Egine , et mon coeur et mes maux . J'ai deux fois de l'hymen allumé les flambeaux ; Deux fois , de mon destin subissant l'injustice , J'ai changé d'esclavage , ou ...
... sentiments .... JOCASTE . Que je suis malheureuse ! Tu connais , chère Egine , et mon coeur et mes maux . J'ai deux fois de l'hymen allumé les flambeaux ; Deux fois , de mon destin subissant l'injustice , J'ai changé d'esclavage , ou ...
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acte affreux aimé AÏRE Allez amant amour ARASPE ARONS bras BRUTUS c©¡ur charmes CHATILLON cher CHOE U chrétiens ciel coeur CORASMIN Corneille coupable courroux crime cruel d'OEdipe déja destin Dieu dieux digne DIMAS douleur ÉGINE époux esclave êtes FATIME fils funeste fureur gloire GRAND-PRÊTRE Hélas héros heureux homme hymen ICARE indigne j'ai jamais JOCASTE jour l'amour l'horreur Laïus LICTEURS lieux long-temps Lusignan madame mains maître malheureux mérite MESSALA moi-même monstre mort mortel Motte Nérestan OE DIPE OROSMANE ouvrage parler père PERSONNAGE peuple peut-être PHILOCTÈTE Phocide Phorbas pièce pleurs poëte Polybe porte Quirinale prince PROCULUS prose punir qu'OEdipe qu'un rime rois Romains Rome sais sang sauver SCÈNE secret seigneur sénat sentiments sérail serait seul SMANE Solyme Sophocle sort soudan soupçons sujet supplice Tarquin tendresse théâtre Thébains Thèbe TITUS tragédie trahir tremble trépas triste trône TULLIE tyrans VALÉRIUS venger vertu veux vois voix Voltaire yeux Zaïre ZATRE
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289 ÆäÀÌÁö - On sait son droit au trône, et ce droit est un crime : Du destin qui fait tout tel est l'arrêt cruel : Si j'eusse été vaincu, je serais criminel. Lusignan dans les fers finira sa carrière, Et jamais du soleil ne verra la lumière. Je le plains , mais pardonne à la nécessité Ce reste de vengeance et de sévérité. Pour Zaïre , crois-moi , sans que ton c©«ur s'offense , Elle n'est pas d'un prix qui soit en ta puissance; Tes chevaliers français , et tous leurs souverains , S'uniraient vainement...
305 ÆäÀÌÁö - C'est le sang des héros, défenseurs de ma loi; C'est le sang des martyrs... O fille encor trop chère ! Connais-tu ton destin? sais-tu quelle est ta mère? Sais-tu bien qu'à l'instant que son flanc mit au jour...
305 ÆäÀÌÁö - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines! C'est le sang de...
113 ÆäÀÌÁö - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'©«il un char fuyant dans la carrière?
18 ÆäÀÌÁö - II reçoit cette force heureuse Qui l'élève au plus haut degré. Telle , dans des canaux pressée , Avec plus de force élancée, L'onde s'élève dans les airs; Et la règle , qui semble austère , N'est qu'un art plus certain de plaire, Inséparable des beaux vers.
255 ÆäÀÌÁö - De Polyeucte la belle âme Aurait faiblement attendri. Et les vers chrétiens qu'il déclame Seraient tombés dans le décri , N'eût été l'amour de sa femme Pour ce païen son favori , Qui méritait bien mieux sa flamme Que son bon dévot de mari.
161 ÆäÀÌÁö - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
283 ÆäÀÌÁö - Je le vois trop ; les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos m©«urs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
289 ÆäÀÌÁö - Chrétien, je suis content de ton noble courage : Mais ton orgueil ici se serait-il flatté D'effacer Orosmane en générosité? Reprends ta liberté, remporte tes richesses, A l'or de ces rançons joins mes justes largesses : Au lieu de dix chrétiens que je dus t'accorder...
16 ÆäÀÌÁö - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.