Principes de la littérature, 3±ÇA. #, 1802 |
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52 ÆäÀÌÁö
... - rir pour Martian ; c'est Pulcherie qui dit à l'usurpateur Phocas , avec une fierté digne de sa naissance : Tyran , descends du trône , et fais place à ton maître , Les vices mêmes entrent dans l'idée de cet héroïsme . 52 DE LA POÉSIE.
... - rir pour Martian ; c'est Pulcherie qui dit à l'usurpateur Phocas , avec une fierté digne de sa naissance : Tyran , descends du trône , et fais place à ton maître , Les vices mêmes entrent dans l'idée de cet héroïsme . 52 DE LA POÉSIE.
116 ÆäÀÌÁö
... Phocas usurpateur . Celui de Racine est Joas mis sur le trône de Juda , à la place d'Athalie usurpatrice . Ensuite on doit voir quelle en est l'ac- tion . L'action renferme en soi le sujet comme sa fin : mais elle y ajoute les moyens et ...
... Phocas usurpateur . Celui de Racine est Joas mis sur le trône de Juda , à la place d'Athalie usurpatrice . Ensuite on doit voir quelle en est l'ac- tion . L'action renferme en soi le sujet comme sa fin : mais elle y ajoute les moyens et ...
120 ÆäÀÌÁö
... Phocas , Pulcherie soeur d'Héraclius , Leontine , qui a élevé Hé- raclius et Marcian , et Exupere , seigneur de la cour de Phocas . Une chose singuliere dans cette tragé- die , c'est qu'Exupere fait toute l'action et n'est qu'un acteur ...
... Phocas , Pulcherie soeur d'Héraclius , Leontine , qui a élevé Hé- raclius et Marcian , et Exupere , seigneur de la cour de Phocas . Une chose singuliere dans cette tragé- die , c'est qu'Exupere fait toute l'action et n'est qu'un acteur ...
121 ÆäÀÌÁö
... Phocas ; d'un hymen funeste , ou de la mort de Pulcherie ; des plus terri- bles supplices pour Léontine : pour Mar- cian et pour Héraclius , il s'agit de mou- rir comme fils de Maurice , ou de régner comme fils de Phocas . Voilà des ...
... Phocas ; d'un hymen funeste , ou de la mort de Pulcherie ; des plus terri- bles supplices pour Léontine : pour Mar- cian et pour Héraclius , il s'agit de mou- rir comme fils de Maurice , ou de régner comme fils de Phocas . Voilà des ...
122 ÆäÀÌÁö
... Phocas la presse ; mais son indignation s'allume : elle fui parle d'Héraclius , sur l'opinion qui s'est répandue , et veut que Phocas lui remette le trône : Tu peux dès aujourd'hui le voir mieux occupé . Le ciel me rend un frere à ta ...
... Phocas la presse ; mais son indignation s'allume : elle fui parle d'Héraclius , sur l'opinion qui s'est répandue , et veut que Phocas lui remette le trône : Tu peux dès aujourd'hui le voir mieux occupé . Le ciel me rend un frere à ta ...
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acte acteurs action aisé Aristophane Aristote assez Athalie atque auroit avoient avoit c'étoit carac caractere chant CHAP CHAPITRE chose Cinna coeur Comédie comique connoître Corneille Créon d'Horace degré Despréaux Dieu dieux dire doit doux Edipe épigramme espece étoient étoit Euripide Exupere falloit fils génie genre goût graces Grecs Héraclius héroïque homme Horace idées Joad Joas Jocaste Josabet Juvenal l'action l'ame l'art l'autre l'Epigramme l'Epopée l'esprit l'Ode Laïus Leontine malheur maniere Marcian ment moeurs nature nunc par-tout parle paroît passions peint pensée pere peuple Phocas piece Pindare pitié Plaute poëme Poésie didactique Poésie lyrique poëte poétique pourroit premiere Pulcherie qu'un Qu©¡ quelquefois quid Racan Racine raison regles ridicule rien Romains s'il Satyre scene Séjan sentimens sentiment seroit seul sion Sophocle sorte spectacle spectateur style sublime sujet tems Térence terreur teur théâtre tion Tirésie Tragédie Tragédie Grecque tragique traits vertu veut vices Virgile Voilà voit vrai vraisemblable
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227 ÆäÀÌÁö - Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
136 ÆäÀÌÁö - Madame, voilà donc cet ennemi terrible? De vos songes menteurs l'imposture est visible, A moins que la pitié qui semble vous troubler Ne soit ce coup fatal qui vous faisait trembler.
310 ÆäÀÌÁö - Tous les jours à la cour un sot de qualité Peut juger de travers avec impunité ; A Malherbe, à Racan préférer Théophile Et le clinquant du Tasse à tout l'or de Virgile.
315 ÆäÀÌÁö - En vain contre le Cid un ministre se ligue : Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue. L'Académie en corps a beau le censurer : Le public révolté s'obstine à l'admirer.
307 ÆäÀÌÁö - Déposez hardiment qu'au fond cet homme horrible, Ce censeur qu'ils ont peint si noir et si terrible , Fut un esprit doux , simple , ami de l'équité , Qui , cherchant dans ses vers la seule vérité , Fit , sans être malin , ses plus grandes malices ; Et qu'enfin sa candeur seule a fait tous ses vices.
336 ÆäÀÌÁö - Jean s'en alla comme il était venu , Mangea le fonds avec le revenu , Tint les trésors chose peu nécessaire. Quant à son temps , bien le sut dispenser : Deux parts en fit, dont il soûlait' passer L'une à dormir, et l'autre à ne rien faire.
115 ÆäÀÌÁö - ... plus impérieux dans la raison est manié par le premier, et par l'autre ce qu'il ya de plus flatteur et de plus délicat dans la passion ; ce sont dans celui-là des maximes, des règles, des préceptes, et dans celui-ci du goût et des sentiments ; l'on est plus occupé aux pièces de Corneille, l'on est plus ébranlé et plus attendri à celles de Racine ; Corneille est plus moral, Racine plus naturel ; il semble que l'un imite SOPHOCLE, et que l'autre doit plus à EURIPIDE.
132 ÆäÀÌÁö - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
329 ÆäÀÌÁö - Las d'espérer et de me plaindre Des muses, des grands, et du sort, C'est ici que j'attends la mort, Sans la désirer ni la craindre.
314 ÆäÀÌÁö - Qu'on vante en lui la foi, l'honneur, la probité ; Qu'on prise sa candeur et sa civilité ; Qu'il soit doux, complaisant, officieux, sincère : On le veut, j'y souscris, et suis