Vies des grands capitaines français du moyen âge, 6-7±Ç

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71 ÆäÀÌÁö - ... lieu de bourlées, deux grandes oreilles si larges que quand elles vouloient passer l'huis d'une chambre il falloit qu'elles se tournassent de costé et...
98 ÆäÀÌÁö - Dieu, vos troupes, qui étaient en grand nombre à ce siège , ont reçu un terrible échec. Cela est arrivé, en partie, comme nous nous le persuadons, par la confiance que les ennemis ont eue en une femme née du limon de l'enfer, et disciple de Satan, qu'ils appellent la Pucelle , laquelle s'est servie d'enchantemens et de sortilèges. Cette défaite a non seulement diminué le nombre de vos troupes , mais en même temps a fait perdre courage à celles qui restent , d'une manière étonnante.
168 ÆäÀÌÁö - Jeanne, dit le connétable, on m'a dit que vous me vouliez combattre; je ne sais si vous êtes de par Dieu ou non; si vous êtes de par Dieu, je ne vous crains en rien, car Dieu sait bien mon vouloir; si vous êtes de par le diable, je vous crains encore moins.
168 ÆäÀÌÁö - ... d'Orléans, et plusieurs capitaines qui lui firent grande chère, et furent bien aises de sa venue. La Pucelle descendit à pied, et monseigneur aussi ; et vint ladite Pucelle embrasser mondU seigneur par les jambes.
98 ÆäÀÌÁö - Toutes choses prospéraient ici pour vous, disait sa lettre, jusqu'au temps du siége d'Orléans, entrepris Dieu sait par quels conseils. Après la mort de mon cousin de Salisbury, que Dieu absolve , qui est tombé, ce semble, par la main de Dieu , vos troupes , qui étaient en grand nombre à ce siége, ont reçu un terrible échec. Cela est arrivé en partie, comme nous nous le persuadons, par la confiance que les ennemis ont eue en une femme née du limon de l'enfer , et disciple de Satan, qu'ils...
19 ÆäÀÌÁö - Sur quoi le chapelain lui bailla absolution telle quelle, et lors La Hire fit sa prière à Dieu, en disant en son gascon, les mains jointes ^« Dieu, je te prie que tu fasses aujourd'hui » pour La Hire autant que tu voudrois que La Hire « fist pour toi, si il estoit Dieu et tu fusses La Hire.
293 ÆäÀÌÁö - Marins avaient été pour les armées romaines : et, de même que la République n'eut plus à déplorer de désastres semblables à ceux de la Trébie, de Trasimène et de Cannes, de même on ne connut plus en France, jusqu'en 1815 et en 1870, de revers aussi cruels que ceux de Crécy, de Poitiers et d'Azincourt.
165 ÆäÀÌÁö - Les affronts que l'on affectait de prodiguer au prince de Bretagne , dit un écrivain moderne , ne purent le rendre rebelle ; son c©«ur était français. Si ses procédés avaient été quelquefois violents , ses intentions avaient toujours été pures ; s'il voulait gouverner le roi , c'était pour l'arracher à la mollesse et le rendre à la gloire. Les succès des Anglais le pénétraient de douleur ; à chaque nouvelle de la prise d'une ville , d'un village , d'un avantage remporté par les...
374 ÆäÀÌÁö - Azin court , paré de tous les insignes d'un roi de France; il ordonna aux gens du château de la remettre en cadeau , de sa part, à madame la marquise de Tramecourt lorsqu'elle reviendrait chez elle. Cette dame arriva peu de jours après , et trouva le présent un peu singulier ; elle envoya sur-le...
160 ÆäÀÌÁö - ... roy d'Angleterre et ses fauteurs , pour l'aider à reconquérir et remettre en son obéyssance la duché de Normandie. Outre quoy, il ordonna pour le fait de la guerre, afin d'estre son lieutenant-général, le comte de Dunois, bastard d'Orléans, lequel estoit en ce temps-là fort renommé d'estre sage , prudent et de bonne conduite, et aussi fort aimé de tous les gens de guerre, autant, ou plus que nnls autres seigneurs ou capitaines du royaume de France. D'autre part, il envoya des ambassadeurs...

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