Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, 2±ÇThe author, 1803 - 635ÆäÀÌÁö |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
100°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
4 ÆäÀÌÁö
... par les succès de Corneille , et même par » ses fautes . A partir de ce ... Tout ce qui peut exalter l'ame , le sentiment » de l'honneur , dans le vieux ... par des » moyens dignes de lui , dans le rôle de Cor- >> nélie , tous ces ...
... par les succès de Corneille , et même par » ses fautes . A partir de ce ... Tout ce qui peut exalter l'ame , le sentiment » de l'honneur , dans le vieux ... par des » moyens dignes de lui , dans le rôle de Cor- >> nélie , tous ces ...
5 ÆäÀÌÁö
... tout quand le rôle de Dorante étoit joué par Molé . C'est la seule pièce qui ait été suivie d'une autre pièce sous le même nom , la Suite du Menteur , qui est du même auteur . Toutes les deux sont imitées de l'espagnol . On attri- buoit ...
... tout quand le rôle de Dorante étoit joué par Molé . C'est la seule pièce qui ait été suivie d'une autre pièce sous le même nom , la Suite du Menteur , qui est du même auteur . Toutes les deux sont imitées de l'espagnol . On attri- buoit ...
19 ÆäÀÌÁö
... tout ; l'on espère et l'on craint ( * ) . . . . . » Dans Britannicus , on ... par gradation de la vertu au crime , du crime aux forfaits . Agrip- pine est ... tout ce qui l'envi- ronne . Burrhus est un sage , au milieu de la cour la plus ...
... tout ; l'on espère et l'on craint ( * ) . . . . . » Dans Britannicus , on ... par gradation de la vertu au crime , du crime aux forfaits . Agrip- pine est ... tout ce qui l'envi- ronne . Burrhus est un sage , au milieu de la cour la plus ...
20 ÆäÀÌÁö
... tout ce qu'on pouvoit attendre de Néron , Agrippine , qui n'a plus rien à ména- et qui ne songe plus qu'à l'épouvanter de ses propres fureurs , lui tient ce langage : ger , ... Poursuis , Néron ; avec de tels ministres , Par des faits ...
... tout ce qu'on pouvoit attendre de Néron , Agrippine , qui n'a plus rien à ména- et qui ne songe plus qu'à l'épouvanter de ses propres fureurs , lui tient ce langage : ger , ... Poursuis , Néron ; avec de tels ministres , Par des faits ...
29 ÆäÀÌÁö
... tout les Gaulois , Contre ces mêmes murs qu'ils ont pris autrefois , Exciter ma vengeance , et jusques dans la Grèce , Par des ambassadeurs accuser ma paresse . Ils savent que sur eux , prêt à se déborder , Ce torrent , s'il m'entraîne ...
... tout les Gaulois , Contre ces mêmes murs qu'ils ont pris autrefois , Exciter ma vengeance , et jusques dans la Grèce , Par des ambassadeurs accuser ma paresse . Ils savent que sur eux , prêt à se déborder , Ce torrent , s'il m'entraîne ...
±âŸ ÃâÆǺ» - ¸ðµÎ º¸±â
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
amour assez auroit auteur avoient avoit Barthélemy beau Beaumarchais caractère charme choses c©«ur comédie comique comte connoissance connoître Corneille Crébillon d'Alembert desirer devoit Diderot disoit donner écrits écrivain éloges esprit étoient étoit faisoit falloit femme Fénélon foible Fontenelle génie genre gloire goût gouvernement grace Harpe Helvétius homme j'ai jamais jours l'abbé l'académie l'ame l'amour l'auteur l'esprit l'histoire l'homme lettres Littérature française loix long-temps Louis Louis XIV lui-même madame de Maintenon madame de Staël madame de Tencin madame du Châtelet mademoiselle mademoiselle de Lussan Meilhan mérite m©«urs Molière monde Montesquieu morale mort mourut n'avoit n'étoit naquit Noces de Figaro ouvrages par-tout parler paroît passion pensées père personne peuple philosophie pièce Piron plaisir poëme poète pouvoit premier prince principes qu'un quelquefois Racine raison Raynal religion rien romans Rousseau satyre sentimens sentiment seroit seul siècle société souvent style sujet sur-tout systême talens théâtre tion tragédie trouve Turcaret vérité Voltaire vrage
Àαâ Àο뱸
40 ÆäÀÌÁö - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
442 ÆäÀÌÁö - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
444 ÆäÀÌÁö - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
424 ÆäÀÌÁö - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les m©«urs 1 Avertissement
406 ÆäÀÌÁö - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
23 ÆäÀÌÁö - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
9 ÆäÀÌÁö - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
28 ÆäÀÌÁö - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
24 ÆäÀÌÁö - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
450 ÆäÀÌÁö - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...