| Friedrich Wilhelm Genthe - 1829 - 490 ÆäÀÌÁö
...il suffisoit de dire des choses contra le bon sens et la raison? Chacun s'en croyoit capable en Tun et en l'autre Sexe, depuis les Dames et les Seigneurs...chambre et aux valets. Cette fureur de Burlesque, dont a la fin nous commencous a guerir, t-toi t venue s» a van t, que les libraires ne vouloient rien,... | |
| Friedrich Wilhelm Genthe - 1836 - 378 ÆäÀÌÁö
...des choses contra le bon sens et la raison? Chacun s'en croyoit capable en Tun et en l'autre Sexo, depuis les Dames et les Seigneurs de la Cour, jusqu'aux...chambre et aux valets. Cette fureur de Burlesque, dont n la lin nous commencons ä guerir, etoit venue st avant, que les libraires ne vouloient rien, qui... | |
| L. Lafaist, Félix Danjou - 1838 - 490 ÆäÀÌÁö
...croyoit capable en l'un et l'autre sexe , depuis les dames et les seigneurs de la cour jusques aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur de burlesque , dont à la fin nous commençons à guérir, étoit venue si avant que les libraires ne vouloient rien qui ne portât ce nom; que, par ignorance... | |
| L. Lafaist, Félix Danjou - 1838 - 504 ÆäÀÌÁö
...croyoit capable en l'un et l'autre sexe , depuis les dames et les seigneurs de la cour jusques aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur de burlesque , dont à la fin nous commen cons à guérir, étoit venue si avant que les libraires ne vouloient rien qui ne portât ce... | |
| 1838 - 486 ÆäÀÌÁö
...croyoit capable en l'un et l'autre sexe , depuis les dames et les seigneurs de la cour jusques aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur de burlesque , dont à la fin nous commençons à guérir, étoit venue si avant que les libraires ne vouloient rien qui ne portât ce nom; que, par ignorance... | |
| Paul duc de Noailles - 1848 - 618 ÆäÀÌÁö
...encore, on se jeta sur ce genre facile et trivial. « Le burlesque, dit Pélisson, déborda partout, chacun s'en croyait capable, en l'un et en l'autre...de chambre et aux valets. Cette fureur de burlesque était venue si avant , que les libraires ne voulaient rien qui ne portât ce nom, et que pour mieux... | |
| François Guizot - 1852 - 506 ÆäÀÌÁö
...raisonnablement en ce genre, il sufflsoit de dire des choses contre le bon sens et la raison? Chacun s'en croyoit capable en l'un et en l'autre sexe, depuis les dames et les seigneurs de la cour jusques aux femmes de chambre et aux valets '. » Les libraires ne voulaient plus que des poésies... | |
| Paul Pellisson-Fontanier - 1858 - 570 ÆäÀÌÁö
...raisonnablement en ce genre, il suflisoit de dire des choses contre le bon sens et la raison? Chacun s'en croyoit capable en l'un et en l'autre sexe, depuis les dames et les seigneurs de la Cour, jusques aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur de burlesque, dont à la fin nous commençons... | |
| Paul Pellisson-Fontanier - 1858 - 600 ÆäÀÌÁö
...C'est en la suite de. la 2e partir, livre iv, lettre 6. (o.) ! Registres, 14 décembre 1657. croyoil capable en l'un et en l'autre sexe, depuis les dames et les seigneurs de la Cour, jusques aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur de burlesque, dont à la fin nous commençons... | |
| Paul Scarron - 1858 - 500 ÆäÀÌÁö
...mnis il y déborda et il y lil d'étranges ravages. Chacun s'en croyail capable, depuis les dames et seigneurs de la cour, jusqu'aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur du burlesque était venue si avant, que les libraires ne voulaient rien qui ne portât ce nom, que,... | |
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