Lettres, 1841-1866Société dv Mercvre de France, 1907 - 555ÆäÀÌÁö |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
100°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
22 ÆäÀÌÁö
... affaire de R L dont vous trouverez plus loin le récit très exact . Je me résume : vous avez commis une erreur . Quelques complaisances que vous ayez eues , je devais recevoir , au moins , à partir de mon arrivée ici , 200 fr . par mois ...
... affaire de R L dont vous trouverez plus loin le récit très exact . Je me résume : vous avez commis une erreur . Quelques complaisances que vous ayez eues , je devais recevoir , au moins , à partir de mon arrivée ici , 200 fr . par mois ...
23 ÆäÀÌÁö
... affaires . Et cepen- dant il a fallu que l'initiative vînt de moi ; toutes ces choses si raisonnables , que vous auriez dû m'in- diquer , il a fallu que je les voulusse le premier . Toute la légitimation de ceci est là , dans un mot de ...
... affaires . Et cepen- dant il a fallu que l'initiative vînt de moi ; toutes ces choses si raisonnables , que vous auriez dû m'in- diquer , il a fallu que je les voulusse le premier . Toute la légitimation de ceci est là , dans un mot de ...
25 ÆäÀÌÁö
... affaire . Cet homme arrive chez vous ; à vous , il parle d'un ami , pour qui j'ai répondu . Il fallait en effet tâcher d'expliquer son affaire . Puis , il écrit à ma mère . Ici , c'est autre chose . Il n'est plus du tout question d'ami ...
... affaire . Cet homme arrive chez vous ; à vous , il parle d'un ami , pour qui j'ai répondu . Il fallait en effet tâcher d'expliquer son affaire . Puis , il écrit à ma mère . Ici , c'est autre chose . Il n'est plus du tout question d'ami ...
26 ÆäÀÌÁö
... affaire suffisamment expliquée . A GÉRARD DE NERVAL Samedi , 8 [ Mai 1850 ] . Mon cher ami , Encore un service , si ce n'est pas une indiscré- tion deux billets d'orchestre pour Malassis , rue des Maçons - Sorbonne , 19 . Vous avez vu ...
... affaire suffisamment expliquée . A GÉRARD DE NERVAL Samedi , 8 [ Mai 1850 ] . Mon cher ami , Encore un service , si ce n'est pas une indiscré- tion deux billets d'orchestre pour Malassis , rue des Maçons - Sorbonne , 19 . Vous avez vu ...
31 ÆäÀÌÁö
... affaire T me tourmente horriblement . De plus , vous savez que ce mois est , pour moi , le grand mois , la sépa- ration ; il faut beaucoup d'argent ; je n'ai que ma plume et ma mère . Car vous , je ne vous compte pas . Il m'arrive les ...
... affaire T me tourmente horriblement . De plus , vous savez que ce mois est , pour moi , le grand mois , la sépa- ration ; il faut beaucoup d'argent ; je n'ai que ma plume et ma mère . Car vous , je ne vous compte pas . Il m'arrive les ...
±âŸ ÃâÆǺ» - ¸ðµÎ º¸±â
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
affaire Alençon Alfred de Vigny ANCELLE Mon cher Août article Asselineau avez Avez-vous Babou Baudelaire Belgique besoin billet Broise Bruxelles Calonne cause Champfleury CHARLES ASSELINEAU Charles Baudelaire cher ami cher Ancelle chose crois croyez d'ailleurs demain demande Dentu deviner dimanche dire dois écrire Edgar Poe envoyer épreuves êtes exemplaires ferai feuille Février Flaubert Fleurs Fleurs du Mal Garnier GUSTAVE FLAUBERT Haschisch Hetzel homme Honfleur Hugo J'ai reçu j'aurai j'avais j'en j'étais j'irai Janvier journal jours l'affaire l'argent l'Hôtel Lécrivain lettre librairie livre Lundi m'avez m'en m'est Madame Ancelle MADAME SABATIER Malassis Manet matin ment mère mois MONSIEUR ANCELLE MONSIEUR JULIEN LEMER n'ai n'avez note Octobre Opium paquet paraît parler Paul Meurice payer pense peut-être peux Pincebourde POULET-MALASSIS Mon cher question raison remercie réponse reste Revue rien Sainte-Beuve sais savez sera seulement soir somme Spleen Théophile Gautier tion tirage trouver vais veux Victor Hugo voilà volume voulez
Àαâ Àο뱸
514 ÆäÀÌÁö - Faut-il vous dire, à vous qui ne l'avez pas plus deviné que les autres, que dans ce livre atr.oce j'ai mis tout mon c©«ur, toute ma tendresse, toute ma religion (travestie), toute ma haine? Il est vrai que j'écrirai le contraire, que je jurerai mes grands dieux que c'est un livre d'art pur, de singerie, de jonglerie, et je mentirai comme un arracheur de dents.
130 ÆäÀÌÁö - Vous oublier n'est pas possible. On dit qu'il a existé des poètes qui ont vécu toute leur vie les yeux fixés sur une image chérie. Je crois en effet (mais j'y suis trop intéressé) que la fidélité est un des signes du génie. «Vous êtes plus qu'une image rêvée et chérie, vous êtes ma superstition.
172 ÆäÀÌÁö - Je puis vous marquer quelque chose de plus singulier et de presque incroyable : en 1846 ou 47, j'eus connaissance de quelques fragments d'Edgar Poe; j'éprouvai une commotion singulière ; ses ©«uvres complètes n'ayant été rassemblées qu'après sa mort en une édition unique, j'eus la patience de me lier avec des Américains vivant à Paris pour leur emprunter des collections de journaux qui avaient été dirigés par Poe.
41 ÆäÀÌÁö - La personne pour qui ces vers ont été faits, qu'ils lui plaisent ou qu'ils lui déplaisent, quand même ils lui paraîtraient tout à fait ridicules, est bien humblement "suppliée" de ne les montrer "à personne". Les sentiments profonds ont une pudeur qui ne veut pas être violée. L'absence de signature n'est-elle pas un symptôme de cette invincible pudeur? Celui qui a fait ces vers, dans un des états de rêverie où le jette souvent l'image de celle qui en est l'objet, l'a bien vivement aimée,...
85 ÆäÀÌÁö - Siècle qui a fait les fonds de cette spéculation de b et le musée médical s'explique par sa manière de progrès, de science, de diffusion des lumières. — Alors, je réfléchis que la bêtise et la sottise modernes ont leur utilité mystérieuse, et que, souvent, ce qui a été fait pour le mal, par une mécanique spirituelle, tourne pour le bien.
264 ÆäÀÌÁö - J'ai été frappé de votre observation, et étant descendu très sévèrement dans le souvenir de mes rêveries, je me suis aperçu que, de tout temps, j'ai été obsédé par l'impossibilité de me rendre compte de certaines actions ou pensées soudaines de l'homme, sans l'hypothèse de l'intervention d'une force méchante, extérieure à lui. Voilà un gros aveu dont tout le xix' siècle conjuré ne me fera pas rougir.
315 ÆäÀÌÁö - Poèmes en prose que je vous envoie. Je fais une longue tentative de cette espèce et j'ai l'intention de vous la dédier. A la fin du mois, je vous remettrai tout ce qu'il y aura de fait (un titre comme : Le Promeneur solitaire ou Le Rôdeur parisien, vaudrait mieux peut-être ?). Vous serez indulgent. Car vous avez fait aussi quelques tentatives de ce genre, et vous savez combien c'est difficile, particulièrement pour éviter d'avoir l'air de montrer le plan d'une chose à mettre en vers.
242 ÆäÀÌÁö - Car j'ai rencontré Feydeau, qui n'a pas lâché une si belle occasion d'entendre parler et de parler de lui. Par bonheur, prévoyant ce cas, je m'étais préparé dans le silence. J'ai rassemblé toute mon audace, et je lui ai dit : Votre ouvrage est sublime, etc., mais, etc... Il m'a bien fait voir qu'auprès de lui les mais sont mal reçus. Savez-vous bien, je parle sincèrement, qu'il m'embarrasse plus que Victor Hugo lui-même, et que je serais moins troublé pour dire à Hugo : Vous êtes bête,...
68 ÆäÀÌÁö - Desnoyers, Vous me demandez des vers pour votre petit volume, des vers sur la nature, n'est-ce pas? sur les bois, les grands chênes, la verdure, les insectes, — le soleil, sans doute? Mais vous savez bien que je suis incapable de m'attendrir sur les végétaux...
127 ÆäÀÌÁö - J'avais hier l'intention d'adresser une espèce de plaidoirie secrète à M. Le Garde des Sceaux; mais j'ai pensé qu'une pareille démarche impliquait presque un aveu de culpabilité, et je ne me sens pas du tout coupable. Je suis au contraire très fier d'avoir produit un livre qui ne respire que la terreur et l'horreur du Mal.