Lettres, 1841-1866Société dv Mercvre de France, 1907 - 555ÆäÀÌÁö |
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67 ÆäÀÌÁö
... fais me paraît meilleur , d'abord à cause des qua- lités du directeur , mais aussi particulièrement à cause de son apparence , permettez - moi de vous le dire , paradoxale . Je me suis dit : --- M. Hostein a été l'ami de Balzac . N'est ...
... fais me paraît meilleur , d'abord à cause des qua- lités du directeur , mais aussi particulièrement à cause de son apparence , permettez - moi de vous le dire , paradoxale . Je me suis dit : --- M. Hostein a été l'ami de Balzac . N'est ...
79 ÆäÀÌÁö
... fais . J'ai une telle peur de voir m'échapper la chose que je convoite depuis si longtemps que je vous récris ce matin , à ce sujet . Vous verrez ce matin ma mère ; si elle se met à avoir peur , comme c'est probable , insistez bien sur ...
... fais . J'ai une telle peur de voir m'échapper la chose que je convoite depuis si longtemps que je vous récris ce matin , à ce sujet . Vous verrez ce matin ma mère ; si elle se met à avoir peur , comme c'est probable , insistez bien sur ...
85 ÆäÀÌÁö
... priétaire me rend si malheureux qu'hier soir je ne suis pas rentré . Il y a plusieurs raisons , sans compter l'économie de temps et de courses , pour lesquelles je ne fais - pas porter le paquet chez moi . Mais , LETTRES 85 - 1856.
... priétaire me rend si malheureux qu'hier soir je ne suis pas rentré . Il y a plusieurs raisons , sans compter l'économie de temps et de courses , pour lesquelles je ne fais - pas porter le paquet chez moi . Mais , LETTRES 85 - 1856.
87 ÆäÀÌÁö
... fais arrê- ter la voiture à la porte de cette maison , et je laisse Castille dans la voiture , me promettant de ne pas le faire attendre longtemps . Aussitôt après avoir sonné et être entré , je m'a- perçois que ma pend par la fente de ...
... fais arrê- ter la voiture à la porte de cette maison , et je laisse Castille dans la voiture , me promettant de ne pas le faire attendre longtemps . Aussitôt après avoir sonné et être entré , je m'a- perçois que ma pend par la fente de ...
93 ÆäÀÌÁö
... fais mes excuses par avance et d'ailleurs je crains que , lorsque je ne parlerai plus par la voix d'un grand poète , je ne sois pour vous un être bien criard , et bien désa- gréable . Tout à vous . A la fin du second volume de Poe , je ...
... fais mes excuses par avance et d'ailleurs je crains que , lorsque je ne parlerai plus par la voix d'un grand poète , je ne sois pour vous un être bien criard , et bien désa- gréable . Tout à vous . A la fin du second volume de Poe , je ...
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514 ÆäÀÌÁö - Faut-il vous dire, à vous qui ne l'avez pas plus deviné que les autres, que dans ce livre atr.oce j'ai mis tout mon c©«ur, toute ma tendresse, toute ma religion (travestie), toute ma haine? Il est vrai que j'écrirai le contraire, que je jurerai mes grands dieux que c'est un livre d'art pur, de singerie, de jonglerie, et je mentirai comme un arracheur de dents.
130 ÆäÀÌÁö - Vous oublier n'est pas possible. On dit qu'il a existé des poètes qui ont vécu toute leur vie les yeux fixés sur une image chérie. Je crois en effet (mais j'y suis trop intéressé) que la fidélité est un des signes du génie. «Vous êtes plus qu'une image rêvée et chérie, vous êtes ma superstition.
172 ÆäÀÌÁö - Je puis vous marquer quelque chose de plus singulier et de presque incroyable : en 1846 ou 47, j'eus connaissance de quelques fragments d'Edgar Poe; j'éprouvai une commotion singulière ; ses ©«uvres complètes n'ayant été rassemblées qu'après sa mort en une édition unique, j'eus la patience de me lier avec des Américains vivant à Paris pour leur emprunter des collections de journaux qui avaient été dirigés par Poe.
41 ÆäÀÌÁö - La personne pour qui ces vers ont été faits, qu'ils lui plaisent ou qu'ils lui déplaisent, quand même ils lui paraîtraient tout à fait ridicules, est bien humblement "suppliée" de ne les montrer "à personne". Les sentiments profonds ont une pudeur qui ne veut pas être violée. L'absence de signature n'est-elle pas un symptôme de cette invincible pudeur? Celui qui a fait ces vers, dans un des états de rêverie où le jette souvent l'image de celle qui en est l'objet, l'a bien vivement aimée,...
85 ÆäÀÌÁö - Siècle qui a fait les fonds de cette spéculation de b et le musée médical s'explique par sa manière de progrès, de science, de diffusion des lumières. — Alors, je réfléchis que la bêtise et la sottise modernes ont leur utilité mystérieuse, et que, souvent, ce qui a été fait pour le mal, par une mécanique spirituelle, tourne pour le bien.
264 ÆäÀÌÁö - J'ai été frappé de votre observation, et étant descendu très sévèrement dans le souvenir de mes rêveries, je me suis aperçu que, de tout temps, j'ai été obsédé par l'impossibilité de me rendre compte de certaines actions ou pensées soudaines de l'homme, sans l'hypothèse de l'intervention d'une force méchante, extérieure à lui. Voilà un gros aveu dont tout le xix' siècle conjuré ne me fera pas rougir.
315 ÆäÀÌÁö - Poèmes en prose que je vous envoie. Je fais une longue tentative de cette espèce et j'ai l'intention de vous la dédier. A la fin du mois, je vous remettrai tout ce qu'il y aura de fait (un titre comme : Le Promeneur solitaire ou Le Rôdeur parisien, vaudrait mieux peut-être ?). Vous serez indulgent. Car vous avez fait aussi quelques tentatives de ce genre, et vous savez combien c'est difficile, particulièrement pour éviter d'avoir l'air de montrer le plan d'une chose à mettre en vers.
242 ÆäÀÌÁö - Car j'ai rencontré Feydeau, qui n'a pas lâché une si belle occasion d'entendre parler et de parler de lui. Par bonheur, prévoyant ce cas, je m'étais préparé dans le silence. J'ai rassemblé toute mon audace, et je lui ai dit : Votre ouvrage est sublime, etc., mais, etc... Il m'a bien fait voir qu'auprès de lui les mais sont mal reçus. Savez-vous bien, je parle sincèrement, qu'il m'embarrasse plus que Victor Hugo lui-même, et que je serais moins troublé pour dire à Hugo : Vous êtes bête,...
68 ÆäÀÌÁö - Desnoyers, Vous me demandez des vers pour votre petit volume, des vers sur la nature, n'est-ce pas? sur les bois, les grands chênes, la verdure, les insectes, — le soleil, sans doute? Mais vous savez bien que je suis incapable de m'attendrir sur les végétaux...
127 ÆäÀÌÁö - J'avais hier l'intention d'adresser une espèce de plaidoirie secrète à M. Le Garde des Sceaux; mais j'ai pensé qu'une pareille démarche impliquait presque un aveu de culpabilité, et je ne me sens pas du tout coupable. Je suis au contraire très fier d'avoir produit un livre qui ne respire que la terreur et l'horreur du Mal.