Oeuvres de M. Boileau Despréaux, 1±ÇChez David ... [et] Durand, 1747 |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
9°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
i ÆäÀÌÁö
... a paru le fouhaiter . II . J'avois projetté de retoucher partout le Stile , fouvent dur & diffus de ce Commentaire mais je n'ai pas êté plus loin que le premier Tome . D'autres objets m'ont paru mériter toute mon attention Tome I.ä².
... a paru le fouhaiter . II . J'avois projetté de retoucher partout le Stile , fouvent dur & diffus de ce Commentaire mais je n'ai pas êté plus loin que le premier Tome . D'autres objets m'ont paru mériter toute mon attention Tome I.ä².
vi ÆäÀÌÁö
... Stile . Je m'attache auffi trés - fouvent au fonds des chofes ; lorsque j'a- vertis , à cet égard , de quelques inexactitudes échappées à M. Defpréaux ; je crois me confor mer de plus en plus à fes intentions , & continuer , en quelque ...
... Stile . Je m'attache auffi trés - fouvent au fonds des chofes ; lorsque j'a- vertis , à cet égard , de quelques inexactitudes échappées à M. Defpréaux ; je crois me confor mer de plus en plus à fes intentions , & continuer , en quelque ...
xiii ÆäÀÌÁö
... stile fimple , tourné uniquement au profit des Lecteurs , & débarraffé de toutes ces vaines fuperflui- tés qui , au lieu d'éclaircir le Texte , ne font que dé- gouter de la Critique . Enfin , après les Remarques viennent les Imitations ...
... stile fimple , tourné uniquement au profit des Lecteurs , & débarraffé de toutes ces vaines fuperflui- tés qui , au lieu d'éclaircir le Texte , ne font que dé- gouter de la Critique . Enfin , après les Remarques viennent les Imitations ...
106 ÆäÀÌÁö
... Stile , ont les défauts de fon tems . Ses Satires & fes Epitres rampent quelque- fois , parce qu'il outre la fimplicité , qu'il croit appar- tenir à ce genre de Poëfie . A fon exemple , Regnier & M . Defpréaux ont pris tout ce qu'il ...
... Stile , ont les défauts de fon tems . Ses Satires & fes Epitres rampent quelque- fois , parce qu'il outre la fimplicité , qu'il croit appar- tenir à ce genre de Poëfie . A fon exemple , Regnier & M . Defpréaux ont pris tout ce qu'il ...
263 ÆäÀÌÁö
... fe fervit des Sa- tires , qu'il avoit faites contre les faux Directeurs & les Evê- ques , pour le mettre mal dans l'efprit du Roi , qui s'oppola à fes Bulles . buent toutes ces Pieces ; parce que mon Stile , Riv SUR L'EPISTRE I. 263.
... fe fervit des Sa- tires , qu'il avoit faites contre les faux Directeurs & les Evê- ques , pour le mettre mal dans l'efprit du Roi , qui s'oppola à fes Bulles . buent toutes ces Pieces ; parce que mon Stile , Riv SUR L'EPISTRE I. 263.
±âŸ ÃâÆǺ» - ¸ðµÎ º¸±â
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
affez ainfi Alcippe Arnauld auffi Auteur avoient avoit êté beau bien-toft Boileau Broffette BROSS C'eft C'eſt caufe Cenfeur Chapelain chés chofe Clélie compofé Confeiller Cotin d'Horace deffein Defpréaux déja DESP Dieu difant difcours difoit dire efprit efté eftoit eftre endroit enfuite Epigramme Epitre eſt êtant êtoient êtoit fage faifoit faint fans fçait fe trouve fecond Femmes fens fentiment feroit fervir fes Ouvrages feul fiecle foin foit font fouffrir fous fouvent François ftile fuis fuite fuivant fujet Gilles Boileau Heros Horace illuftre IMIT j'ai j'ay jour jufqu'à jufte Juvenal l'Abbé l'Au l'Auteur l'Edition l'efprit laiffer Lecteur mefme Monfieur mourut Mufe n'avoit n'eft n'êtoit noftre paffer parler penfée perfonne Perrault Phédre Pièce plaifir plufieurs Poëfie Poëme Poëte Pradon préaux premières Editions qu'un raifon refte REMARQUES rimer s'eft Satire ſes ſon tems teur tion toûjours trifte Voïés دو
Àαâ Àο뱸
311 ÆäÀÌÁö - A ces mots, essuyant sa barbe limoneuse, II prend d'un vieux guerrier la figure poudreuse. Son front cicatrisé rend son air furieux, Et l'ardeur du combat étincelle en ses yeux. En ce moment il part, et, couvert d'une nue, Du fameux fort de Skink prend la route connue. Là, contemplant son cours, il voit de toutes parts Ses pâles défenseurs par la frayeur épars.
363 ÆäÀÌÁö - De bonne heure a pourvu d'utiles ennemis, Je dois plus à leur haine, il faut que je l'avoue, Qu'au faible et vain talent dont la France me loue.
158 ÆäÀÌÁö - Faudra-t-il de sang-froid, et sans être amoureux, Pour quelque Iris en l'air faire le langoureux, Lui prodiguer les noms de Soleil et d'Aurore, Et toujours bien mangeant , mourir par métaphore?
98 ÆäÀÌÁö - Car à peine les coqs, commençant leur ramage, Auront de cris aigus frappé le voisinage, Qu'un affreux serrurier, laborieux Vulcain, Qu'éveillera bientôt l'ardente soif du gain, Avec un fer maudit, qu'à grand bruit il apprête, De cent coups de marteau me va fendre la tête.
161 ÆäÀÌÁö - Vous aurez beau vanter le roi dans vos ouvrages Et de ce nom sacré sanctifier vos pages ; Qui méprise Cotin n'estime point son roi, Et n'a, selon Cotin, ni Dieu, ni foi, ni loi. Mais quoi ! répondrez-vous, Cotin nous peut-il nuire ? Et par ses cris enfin que saurait-il produire?
324 ÆäÀÌÁö - C'est au repos d'esprit que nous aspirons tous , Mais ce repos heureux se doit chercher en nous. Un fou rempli d'erreurs , que le trouble accompagne , Et malade à la ville ainsi qu'à la campagne , En vain monte à cheval pour tromper son ennui : Le chagrin monte en croupe et galope avec lui.
222 ÆäÀÌÁö - L'évangile au chrétien ne dit en aucun lieu , Sois dévot : elle dit , Sois doux , simple , équitable.
100 ÆäÀÌÁö - Là sur une charrette une poutre branlante Vient menaçant de loin la foule qu'elle augmente ; Six chevaux attelés à ce fardeau pesant Ont peine à l'émouvoir...
36 ÆäÀÌÁö - L'habit qu'il eut sur lui fut son seul héritage, Un lit et deux placets composaient tout son bien ; Ou, pour en mieux parler, Saint-Amant n'avait rien. Mais quoi ! las de traîner une vie importune, II engagea ce rien pour chercher la fortune, Et, tout chargé de vers qu'il devait mettre au jour, Conduit d'un vain espoir, il parut à la cour 5.
148 ÆäÀÌÁö - On ne sait bien -souvent quelle mouche le pique. Mais c'est un jeune fou qui se croit tout permis, Et qui, pour un bon mot, va perdre vingt amis.