Depuis un temps je m'apperçoi Que quand tes dons sacrés daignent sur moi descendre, C'est le vase où je les reçoi,up zeromen zu A Qui fait que, même malgré toi Tout le galant se tourne en tendre. SUR ce qu'on avoit mis dans une É SANS une Eglogte ces quatre afrel of cista .vers: 9209rib ANS permettre & son cœur de trop nobles désirs, Elle peut des dieux même attendre les soupirs, Et si pour elle en vain les dieux versoient des larmes, Is Jauveroient encor leur gloire par ses charmes. Et qu'il fallut les 6ter, parce qu'ils étoient trop Hup bom. 8107 pompeux lot m, zwey 24 I Le poëte a manqué, je n'en disconviens pas; 1967 Le chalumeau dévient trompette. SUR une visite qu'un malade attendoit inutilement Vou depuis quelque temps. ous ne venez donc point, vous pour qui je respire, Vous qui seule à mes maux pourriez me dérober, Vous qui d'un simple mot, qui d'un léger sourire, Dissiperiez l'horreur où je me sens tomber? Privé de la santé, mon seul mal est l'absence C'est vous que je regrette, qui me tourmentez. i Venez de vos attraits éprouver la puissancescas Et si je souffre encor, punissez-m'en, partez. je Tome V. N Αυχ MADRIGAL ux immortels quand je fais quelque offrande, Ils m'en seront eux-mêmes les témoins, Ce n'est jamais l'or que je leur demande, ་ ་་ 'SUR un commerce d'amour, qui subsistoit sans fureurs, et sans jalousie, &c. A VOIR l'Amour tel qu'il erre en ce monde, T 93 Les yeux en feu, la mine furibonde, 24 Avec sa mine renfrognée, mai Elevé sur ma cheminée, Descartes dit: Messieurs, c'est mot 207 2 Qui dans ces lieux donne la loi, Mais au fond d'une alcove obscure Qui se moque du ton qu'il prend, VERS LES ZEPHYR S. ERS l'endroit où du pont de Sève Le dos voûté sur la seine s'élève, Deux couriers qui venoient de deux endroits divers, Et faisoit diligence égale, Se rencontrèrent dans les airs. Dans les airs? deux couriers ? voici choses nouvelles. Et ce qu'ils portoient sur leurs aîles, Vers; et que sais-je enfih? cent autres bagatelles, Comme ils se connoissoient arrête un peu mon frère, : Dit le Parisien, montre-moi ton paquet. : Ah, ciel! ta charge est bien légère, Je serai mieux reçu que toi, CAP R I CE M'ALLER servir de la langue des dieux p D'un jour sans plus! je n'en ai le courage. Ce ne seroit entendre le ménage. Mais, dit l'Amour, impérieux marmor, by col S'il ne va point, si je m'impatiente, Si je languis, si j'enrage en un mot, Mọi qui suis Dieu, qui tous les Dieux régente, T SUR MON PORTRAIT. Sr lorsqu'un seul moment votre ceil s'est occupé Sur ce portrait qui, dit-on, est moi-même, Il ne vous a pas dit: C'est vous seule que j'aime, Rigaut ne m'a point attrapé. CHANSON. UN vainqueur après sa victoire, En répand l'éclat en tous lieux : Un amant dérobe sa gloire, A tous les yeux. 21. f Vénus et l'Amour savent ce qui le flatte.00 Sa gloire n'éclate Que chez les dieux. Un vainqueur, &c. La reconnoissance Du plus tendre cœur, Un vainqueur, &c. ́ SUR UNE ABSENCE. J'ENTENDS la raison en colère Qui gronde et tempête chez moi. Un pauvre enfant, pour tout discours Elle ne revient de deux jours. SUR l'absence d'une personne à qui l'on donnoit le nom d'Iris en vers, et hors de-là quelques autres noms. QUAND UAND je me jette avec furie Dans l'affreuse géométrie, Où se trouvent en raccourci Le grimoire et la diablerie, Na |