Theatre a l'usage des jeunes personnes, 4±Çchez M. Lambert & F. J. Baudouin, imprim.-libraires, rue de la Harpe, pres S. Come, 1780 - 411ÆäÀÌÁö |
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281 ÆäÀÌÁö
... CEIL . Oh , beaucoup .... LE CHEVALIER . Vous m'effrayez ... . Aurois - je entièrement perdu cette aifance , cette grace Champenoife dont je fuis toujours cependant le fincère admi- rateur ? .... VERCEIL . Ah , j'aime mieux ce langage ...
... CEIL . Oh , beaucoup .... LE CHEVALIER . Vous m'effrayez ... . Aurois - je entièrement perdu cette aifance , cette grace Champenoife dont je fuis toujours cependant le fincère admi- rateur ? .... VERCEIL . Ah , j'aime mieux ce langage ...
283 ÆäÀÌÁö
... les agrémens dont je jouis moi - même . VER CEIL . Qu'appelez - vous des liaisons brillantes ? LE CHEVALIER . ... Mais cela s'entend ..... des liaifons avec des perfonnes diftinguées par leur rang & leur naiffance . COMÉDI E. 283.
... les agrémens dont je jouis moi - même . VER CEIL . Qu'appelez - vous des liaisons brillantes ? LE CHEVALIER . ... Mais cela s'entend ..... des liaifons avec des perfonnes diftinguées par leur rang & leur naiffance . COMÉDI E. 283.
284 ÆäÀÌÁö
... ceil , dans votre fituation ...... il feroit flat- teur . ... VERCEI L. Quoi , d'être admis dans la fociété la plus brillante ? A la bonne heure fi je devois cette faveur à mon mérite perfonnel ; mais quand je ne pourrai l'attribuer qu ...
... ceil , dans votre fituation ...... il feroit flat- teur . ... VERCEI L. Quoi , d'être admis dans la fociété la plus brillante ? A la bonne heure fi je devois cette faveur à mon mérite perfonnel ; mais quand je ne pourrai l'attribuer qu ...
298 ÆäÀÌÁö
... CEIL . Il est vrai , mon père , que le Chevalier eft abfolument changé pour moi . Au lieu de cette confiance , de cette amitié qu'il me témoignoit , je ne trouve plus en lui que de la morgue , de la froideur , & un air de moquerie ou de ...
... CEIL . Il est vrai , mon père , que le Chevalier eft abfolument changé pour moi . Au lieu de cette confiance , de cette amitié qu'il me témoignoit , je ne trouve plus en lui que de la morgue , de la froideur , & un air de moquerie ou de ...
299 ÆäÀÌÁö
... CEIL . Affurément , mon père , grace aux principes que je vous dois , je fuis bien certain de ne jamais rougir de ma naiffance ; cependant , je ne pourrois fupporter le dédain , tel injufte qu'en fut la caufe . Dois - je donc , pour l ...
... CEIL . Affurément , mon père , grace aux principes que je vous dois , je fuis bien certain de ne jamais rougir de ma naiffance ; cependant , je ne pourrois fupporter le dédain , tel injufte qu'en fut la caufe . Dois - je donc , pour l ...
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ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
Adieu affez affure aime ainfi Allons ANNETTE auffi avez avoit Bafile BARONNE bonheur bonne c'eft c'eſt c'étoit CATHERINE caufe CEIL cher Verceil CHEVALIER chofe CLÉANTE c©«ur Collette confeils connoiffances d'Olfey Dame defire Delphine DESORMEAUX Dieu DURVAL enfant eſt êtes étoit FANCHON fans doute favez fecret fentimens fentiment feroit fervir feule fimple foit font fortent foupçonner fur-tout fûre GENEVIÈVE GEORGETTE Hélène ISABELLE j'ai j'en fuis j'étois jamais jeunes filles jolie JOSEPHINE jufte JUSTINE laiffe LEROUX Madame BERTRAND Madame de Clémont Madame DUCHEMIN Madame DUMOND Madame Dupré Madame DUROCHER maiſon malheureuſe maman MARIANNE MARQUIS MARQUISE MARTHE mère MIMI Monfieur le Prieur MONIQUE n'ai n'eft n'eſt OPHÉMON paffer paffion parler paroît penfer père perfonne PICARD plaifir poffible préfent puiffe raifon refpect refte RENAUD rien Rofe Rofière Roſe s'eft Salenciens Salency SCÈNE Seigneur ſes SILVIE Thérèſe vertu voifine voilà دو