Li̓nfluence française en Angleterre au XVIIe Siècle: le théatre et la critique, étude sur les relations littéraires de la France et de lA̓ngleterre surtout dans la seconde moitié du XVIIe siècleSociété française d'imprimerie et de librairie, 1906 - 374페이지 |
기타 출판본 - 모두 보기
자주 나오는 단어 및 구문
acteurs actrices Addison Almanzor amour Angleterre Aphra Behn Aristote assez avaient Ben Jonson Berkeley Boileau c'était CALIFORNIA LIBRARY Charles chose Cibber classique Colley Cibber comédie comique Corneille costume critique anglais Crowne D'Avenant Diary Downes Dramatic drame Dryden emprunts femme Genest goût héros Hist Horace imitation Indian Emperor INFLUENCE FRANÇAISE John Jonson jouée l'amour l'Amour et l'Honneur l'auteur l'École des Femmes l'École des Maris l'œuvre Langbaine latin littéraire littérature Lives Londres ment Milton Molière œuvres Orinda Otway parfois passer Pepys personnages peut-être Philips pièce de Molière poésie poète anglais poète dramatique Poetry Pope préface Prologue public Racine Ravenscroft reine représentation Restauration reste rien rime Roger Boyle romans Roscius anglicanus Rymer satire scène anglaise Scott Scudéry seulement Shadwell Shakespeare shakespearienne sorte spectateurs Spectator stage succès tion traducteur traduction tragédie héroïque troupe UNIVERSITY OF CALIFORNIA Walter Scott William Works Essay Works ibid Works The Indian Wycherley
인기 인용구
280 페이지 - Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins, il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.
220 페이지 - J'écrivis l'autre jour à mon fils une lettre de ce style, qui était fort plaisante. Je trouve donc que celui de La Calprenède est détestable, et cependant je ne laisse pas de m'y prendre comme à de la glu...
232 페이지 - De soucis sur soucis elle est inquiétée; Je sens l'amour, la haine, et la crainte, et l'espoir, La joie et la douleur tour à tour l'émouvoir...
323 페이지 - Qu'est-ce qu'une pensée neuve, brillante, extraordinaire? Ce n'est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n'a jamais eue, ni dû avoir : c'est au contraire une pensée qui a dû venir à tout le monde, et que quelqu'un s'avise le premier d'exprimer. Un bon mot n'est bon mot qu'en ce qu'il dit une chose que chacun pensait, et qu'il la dit d'une manière vive, fine et nouvelle.
317 페이지 - C'est lui qui vous dira par quel transport heureux Quelquefois dans sa course un esprit vigoureux Trop resserré par l'art sort des règles prescrites, Et de l'art même apprend à franchir leurs limites.
49 페이지 - Il faut bien qu'une pareille imagination soit violente. ' Toute métaphore est une secousse. Quiconque involontairement et naturellement transforme une idée sèche en une image, a le feu au cerveau; les vraies métaphores sont ' des apparitions enflammées qui rassemblent tout un tableau sous un éclair. Jamais, je crois, chez aucune nation d'Europe et en aucun siècle de l'histoire, on n'a vu de passion si grande. Le style de Shakespeare est un composé d'expressions forcenées. Nul homme n'a soumis...
90 페이지 - En toutes les autres de ce temps-là, vous ne voyez qu'une matière informe et mal digérée, un amas d'événements confus, sans considération des lieux ni des temps, sans aucun égard à la bienséance. Les yeux, avides de la cruauté du spectacle, y veulent voir des meurtres et des corps sanglants ; en sauver l'horreur par des récits, comme on fait en France, c'est dérober à la vue du peuple ce qui le touche le plus.
98 페이지 - argent que j'ai reçu du roi ; aussi , depuis ce » temps, n'ai-je jamais dit du bien de lui. » L'humeur de l'historiographe est aussi mal entendue que celle du ministre. L'un aurait dû sentir qu'en laissant à l'écrivain payé le droit de censure , il purifiait les louanges ; l'autre , que cessant d'être payé, il gagnait en autorité ce qu'il perdait...
88 페이지 - Ce poète anglais a l'Imagination assez belle, il pense naturellement, il s'exprime avec finesse; mais ces belles qualités sont obscurcies par les ordures qu'il mêle dans ses comédies.
49 페이지 - C'est peu cependant, car cette force de concentration singulière est encore doublée par la brusquerie de l'élan qui la déploie. Chez Shakspeare, nulle préparation, nul ménagement, nul développement, nul soin pour se faire comprendre. Comme un cheval trop ardent et trop fort, il bondit, il ne sait pas courir. Il franchit entre deux mots des distances énormes et se trouve aux deux bouts du monde en un instant. Le lecteur cherche en vain des yeux la route intermédiaire, étourdi de ces sauts...