Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, 2±ÇThe author, 1803 - 635ÆäÀÌÁö |
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13 ÆäÀÌÁö
... grace . Quelques - uns prétendent que madame de Maintenon , touchée de la misère du peuple , demanda à Racine un mémoire sur ce sujet , qu'elle donna au roi ; que Louis XIV , peu con- tent de voir que son historien s'occupât des dé ...
... grace . Quelques - uns prétendent que madame de Maintenon , touchée de la misère du peuple , demanda à Racine un mémoire sur ce sujet , qu'elle donna au roi ; que Louis XIV , peu con- tent de voir que son historien s'occupât des dé ...
14 ÆäÀÌÁö
... grace , que peut - on penser » d'un tel art , si ce n'est qu'il est le génie des >> hommes extraordinaires , et l'original même » de ces règles que les écrivains sans génie >> embrassent avec tant de zèle et si peu de » succès ...
... grace , que peut - on penser » d'un tel art , si ce n'est qu'il est le génie des >> hommes extraordinaires , et l'original même » de ces règles que les écrivains sans génie >> embrassent avec tant de zèle et si peu de » succès ...
170 ÆäÀÌÁö
... Grace de La Vigne , aumô- nier du roi Jean . Il paroît qu'il le commença pendant qu'il étoit prisonnier en Angleterre avec ce monarque . Beaucoup de choses tirées de ce roman , se trouvent introduites dans celui appelé le Miroir de ...
... Grace de La Vigne , aumô- nier du roi Jean . Il paroît qu'il le commença pendant qu'il étoit prisonnier en Angleterre avec ce monarque . Beaucoup de choses tirées de ce roman , se trouvent introduites dans celui appelé le Miroir de ...
176 ÆäÀÌÁö
... grace ou justice . Cependant , mon compère , gardez - le chez vous , et ne souffrez pas que personne le lise . Je vous en réponds , dit le barbier ; et sans se fatiguer davantage à examiner le reste des livres , il dit à la gouvernante ...
... grace ou justice . Cependant , mon compère , gardez - le chez vous , et ne souffrez pas que personne le lise . Je vous en réponds , dit le barbier ; et sans se fatiguer davantage à examiner le reste des livres , il dit à la gouvernante ...
199 ÆäÀÌÁö
... grace , quelques jolis vers dont on se » souvient , et , avec une effrayante facilité , de » gros volumes qu'on ne lit plus . On sait que , pendant un temps , elle tourna les têtes , et >> qu'elle eut autant d'influence par ses romans ...
... grace , quelques jolis vers dont on se » souvient , et , avec une effrayante facilité , de » gros volumes qu'on ne lit plus . On sait que , pendant un temps , elle tourna les têtes , et >> qu'elle eut autant d'influence par ses romans ...
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36 ÆäÀÌÁö - J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
428 ÆäÀÌÁö - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
36 ÆäÀÌÁö - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste c©«ur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...
410 ÆäÀÌÁö - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les m©«urs 1 Avertissement
392 ÆäÀÌÁö - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
16 ÆäÀÌÁö - Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille; Rome, ce ciel, ce jour que tu reçus de moi, Par-tout, à tout moment, m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies : Tu...
26 ÆäÀÌÁö - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un...
5 ÆäÀÌÁö - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
426 ÆäÀÌÁö - Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime , et digne de tous les prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
26 ÆäÀÌÁö - Marchons, et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre. Attaquons dans leurs murs ces conquérants si fiers ; Qu'ils tremblent, à leur tour, pour leurs propres foyers ; Annibal l'a prédit, croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome.