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de Charles V. créé cardi-
nal, 205 Erasme lui écrit
pour juftifier les notes fur
le nouveau teftament, 125.
Son prodrome, 126. Son
hiftoire étant cardinal, &
fa mort.
526
Sturmius (Jean) confulté par
Mélanchton s'il fera le

voyage de France. 504
Suede. Etat de la religion dans
ce royaume.
128

Suiffes. Préparatifs de guerre
entre leurs cantons. 256
Les Zuingliens, & les Ca-
tholiques fe font la guerre,
257. Ceux-ci remportent
plufieurs victoires, 261 Les
cantons des deux religions
font la paix entre eux, 263.
Les cantons Catholiques
envoyent leurs députez à
Boulogne, 339. Ils y font
bien reçus du pape & de
l'empereur, là mesme. Le
canton de Fribourg s'opp
fe à la nouvelle doctrine
que les Zuingliens Suiffes
voudroient y introduire,

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417
Vatable, Profeffeur en Hébreu
au college royal, 254
Vaudemont (comte de) meurt
de la peste,
27
Ubaldin, nonce en France &

en Angleterre pour propo-
fer le concile,
340
Veneur (Jean le) fait cardinal
à Marseille par Clement
VII.

358

359

hiftoire & fa mort,
Utrecht, révolte dans cette
province à l'occasion du lu-
théranifme, 9. L'empereur
demande l'union de cette
province aux Pays-bas, 10.
Le pape approuve cette
union,
là-même.

W

Venitiens,fe reconcilient avec
le pape,
190
Verger, nommé nonce en Al-
lemagne en la place de
Rangoni, 350. Il rend vifi-
te à Luther, & s'entretient
avec lui, 511. Ses própofi-
tions aux princes Proteftans
fur le concile,5 12. Réponse
que lui font les princes af-
femblez à Smalkalde, 513
Ugonius, (Matthias) fa mort
& fes ouvrages,
Vienne afliegé par Solyman,
qui leve le fiége, 71
Villiers-Adam, (Philippe )
grand-maître de Malthe,
fa mort,
526
Vio. (Thomas de) Voyez Ca-
jetan.

537

Viterbe (de) cardinal, fon
hiftoire & fa mort,
331
Ulric Hutten, caufe du diffé-
rend entre Erafme & Ep-
pendorf,
53
Ulric de Wittemberg, fait fa
paix avec Ferdinand roi des
Romains, 402. Chagrin du
pape à cette nouvelle, 405
Univerfitez de l'Europe con-
fultées fur le divorce d'Hen-
ri VIII. 211. Décifion de
celle de Paris, 213. De celle
d'Angers, Bourges, Orleans.
Voyez Angers, &c.
Vœux, célibat & monafteres
expliquez par Melanchton,

570

Urfins, (François des) fon

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270

Varhan, (Guillaume)
archevêque de Can-
torbery, fa mort, 329
Wicelius, les changemens fur
la religion,& rentre dans le
fein de l'églife,
Wimphelinge, (Jacques) fa
mort & fes ouvrages, 57.
Il eft exposé aux traits de
l'indignation du clergé &
des moines,
58
Wimpina ( Conrad de ) affifte
pour les Catholiques à Auf-
bourg,
156 159
Wirtemberg (duché de) dont
Ulric eft chaffé, 361. Le
lantgrave implore le fe-
cours du roi de France
pour l'y rétablir, là-même.
L'empereur s'empare de ce
duché, & en inveftit Fer-
dinand, 397. Le lantgrave
le reprend, & y rétablit
Ulric,
Wolfey (cardinal) fait de-
mander à Rome la com-
miffion de juger en An-
gleterre le divorce d'Hen-

400

ri VIII. 37. Sa lettre au

pape, là-même. Chagrin

qu'il conçoit de cette af-

X

fe

joint à Ignace

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les monafteres, là-même. Apol (Jean) fait lever

que

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Z

le fiége de Bude aux

Autrichiens,

238

Zuingle, fa confeffion de foi

envoyée à Ausbourg, 177.

Sa lettre aux princes & fei-

gneurs Proteftans, 179. Il

décide en faveur du divor-

ce d'Henri VIII. 222. Il est

tué dans une bataille, 258.

Son fentiment extravagant
fur le falut des payens, là-

même. Son livre de la vraie

& fauffe religion, 260. Son

caractere,

là même.

Zuingliens, leurs differends
avec les Luthériens, 83.
Les Suiffes Zuingliens font
la guerre aux cantons Ca-
tholiques, & font fouvent
battus, 257. Bucer travaille
beaucoup à les reconcilier
avec les Luthériens au fujet
de la présence réelle fans
pouvoir réuffir. Voyez Bu-

474

cer,-

Fin de la Table des Matieres du vingt-septiéme volume.

264

*Aili par

J'A

l'ordre de Monfeigneur le Garde des Sceaux, un Manuscrit qui a pour titre : Tome vingt-feptiéme de la Continuation de l'Histoire Ecclefiaftique de M. l'Abbé Fleury. Fait à Paris le 8. Août 1730.

CERTAIN.

PRIVILEGE

OUIS,

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Leur S, par la Dienas nos Course des Re

grace de Dieu, Roi de France & de Navarre: A nos Amez & feaux Confeillers, les Gens tenans nos Cours de Parlement, Maîtres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand Confeil, Prevôt de Paris, Baillifs, Sénéchaux, leurs Lieutenans Civils, & autres nos Jufticiers qu'il appartiendra, SA LUT, Notre bien amé PIERRE-FRANÇOIS EMERY, ancien Adjoint des Libraires & Imprimeurs de Paris, Nous ayant très humblement fait remontrer que Nous avions accordé à fon pere nos Lettres de Privilege pour l'impreffion de plufieurs Ouvrages, & entr'autres l'Hiftoire Ecclefiaftique du feu fieur Abbé Fleury notre Confeffeur, fans avoir achevé ledit Ouvrage, & qu'on lui a remis un Manufcrit intitulé: Hiftoire Ecclefiaftique des trois derniers Siecles, Quinze, Seize & Dix-feptième Siècles avec le commencement du Dix-huitième, ce qu'il ne peut faire fans que nous lui accordions de nouvelles Lettres de Privilege, qu'il nous a fait fupplier de lui vouloir accorder, offrant pour cet effet de le faire imprimer en bon papier & en beaux caracteres fuivant la feuille imprimée & attachée pour modele fous le contre-fcel des prefentes. A CES CAUSES, Voulant favorablement traiter ledit Emery, l'engager à Nous donner la fuite de ladite Hiftoire Ecclefiaftique avec la même attention & la même exaAtitude qu'il Nous a donné ci-devant les vingt premiers volumes dudit feu seur Abbé Fleury notre Confeffeur, Nous lui avons permis & accordé, permettons & accordons par ces prefentes, d'imprimer ou faire imprimer la fuite de l'Hiftoire Ecclefiaftique, à commencer au quinziéme fiecle jufqu'à prefent, qui cft compofée par le Sieur ***, en tels volumes, forme, marge, caractere, conjointement ou féparément, & autant de fois que bon lui femblera, fur papier & caracteres conformes à ladite feuille imprimée & attachée pour modele fous le contre-fcel defditesPrefentes, & de les vendre, faire vendre & débiter par tout notre Royaume, pendant le tems de quinze années confécutives, à compter du jour de la datte desdites Prefentes, Faifons défenfes à toutes fortes de perfonnes de quelque qualité & condition qu'elles foient, d'en introduire d'impreffion étrangere dans aucun lieu de notre obeiffance; comme auffi à tous Imprimeurs, Libraires & autres, d'imprimer, faire imprimer, vendre, faire vendre, débiter, ni contrefaire ladite Hiftoire Ecclefiaftique ci-deffus (pecifiée en tout ni en partie, ni d'en faire aucuns extraits, fous quelque prétexte que ce foit, d'augmentation, correction, changement de titre, même de traduction étrangere ou autrement, fans la permiflion expreffe & par écrit dudit Expofant, ou de ceux qui auront droit de lui, à peine de confifcation des Exemplaires contrefaits, de dix mille livres d'amende contre chacun des con

trevenans, dont un tiers à Nous, un tiers à l'Hôtel Dieu de Paris, l'autre tiers audit Expofant, & de tous dépens, dommages & interêrs, à la charge que ces Presentes feront enregistrées tout au long fur le Regiftre de la Communauté des Libraites & Imprimeurs de Paris, & ce dans trois mois de la date d'icelles ; que l'impreffion dudit Ouvrage fera faite dans notre Roïaume & non ailleurs, & que l'Impetrant fe conformera en tout aux Réglemens de la Librairie, & notamment à celui du diziéme Avril dernier ; & qu'avant que de l'expofer en vente le Manufcrit ou imprimé qui aura fervi de copie à l'impreffion de ladite Hiftoire, fera remis dans le même état où l'approbation y aura été donnée, ès mains de notre très-cher & feal Chevalier Garde des Sceaux de France, le Sieur Fleuriau d'Armenonville, Commandeur de nos ordres ; & qu'il en fera enfuite remis deux Exemplaires dans notre Bibliotheque publique, un dans celle de notre Château du Louvre, & un dans celle de notredit très-cher & feal Chevalier Garde des Sceaux de France, le Sieur Fleuriau d'Armenonville, Commandeur de nos ordres, le tout à peine de nullité des Prefentes. Du contenu defquelles vous mandons & enjoignons de faire jouir ledit Expofant ou fes ayant caufe, pleinement & paifiblement, fans fouffrir qu'il leur foit fait aucun trouble ou empêchement. Voulons que la copie defdites Prefentes, qui fera imprimée tout au long, au commencement ou à la fin dudit ouvrage, foit tenuë pour duëment fignifiée, & qu'aux copies collationnées par l'un de nos amez & feaux Confeillers, foi foit ajoutée, comme a l'Original. Commandons au premier notre Huiffier ou Sergent de faire pour l'execution d'icelles tous Actes requis & necessaires,sans demander autre permiffion, nonobftant Clameur de Haro, Charte Normande, & Lettres à ce contraires : CAR tel eft notre plaifir. DoNNE' à Paris le vingtiéme jour du mois de Decembre, l'an de grace mil fept cent vingt-cinq, & de notre Regne le onzième. Par le Roi en fon Confeil. SAINSON.

Registré fur le Registre VI.de la Chambre Royale des Libraires & Imprimeurs de Paris, No. 644. fol. 178 conformément aux anciens Reglemens confirmez par celui du 28. Février 1723. A Paris le 24. Decembre 1725. BRUNĚT, Syndic.

J'ai cedé a Madame la Veuve GUERIN, & à Monfieur HIPPOLITE-LOUIS GUERIN, fon fils, Libraires à Paris, un tiers dans le prefent Privilege ; un autre tiers à Monfieur JEAN MARIETTE, auffi Libraire à Paris ; & reconnois que l'autre tiers appartient aux Sieurs SAUGRAIN & MARTIN, mes beaux-freres, & moi fouffigné. A Paris le quatriéme Janvier 1726. P. F. EMERY.

Registré fur le Registre VI. de la Communauté des Libraires & Imprimeurs de Paris pag. 283. conformément aux Reglemens & notamment à l'Arrêt du Conseil du 13. Août 1703. A Paris le quatriéme fanvier 1726. BRUNET, Syndic.

Et lefdits Sieurs Emery & Saugrain ont cedé aux Sieurs Gabriel Martin, Coignard, Mariette fils, & Hippolyte-Louis Guerin le droit qu'ils avoient au prefent Privilege, fuivant les conventions faites entr'eux le deux Août 1736.

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