Les fées: Contes des contespar la Compagnie des libraires., 1725 - 545페이지 |
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affez affurée agreable aimable aimer aimoit ainfi alloit Amans amour apperçut aprés auffi auprés auſſi avoient avoit beau Nirée beauté belle que Fée Bonne Femme c'eft c'eſt c'étoit Candor Carados ceffe chaffe charmante chofes choſe cœur conta croyoit d'Uliciane Defirs déja difoit dit-elle efprit eſt étoient étoit faifoit faloit fans fçavoir fe trouva fentit feroit fervir feul fille Finfin foeur foins foit fon Amant fouf fouffrir fous fouvent fuis fuperbe furpris furpriſe heureuſe Ifene la belle j'ay jour joye l'Amour l'Enchanteur laiffa Lantine Lirette maniere ment Mirtis mourir n'avoit n'eft Nabote paffa paffion Panpan parut penfa Perdrix Perfinette perfonne plaifir pouvoit prés Pretin Pretintin Prince de Sabée Prince Verd Princeffe Bleu Princeſſe prit Reine reux Roc affreux roit Seigneur du Roc ſes ſon Thiphis toit toûjours Tourbillon Uliciane venoit vouloit voulut voyoit vûë yeux Zelindor
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34 페이지 - Il y avoit à un des bouts de cette charmante chambre } une table couverte de tout ce qui pouvoit contenter la délicateffe du goût, &c deux fontaines de liqueurs, qui couloient dans des baffins de porphyre.
37 페이지 - Votre amant eft galant , lui dit-elle > il peut beaucoup , ck il veut tout pouvoir pour vous ; votre bonheur n'eft pas commun. Une pendule, fonnant minuit, leur fit entendre à chaque heure le nom de Phraates. Plus Belle que Fée rougit, & fe jeta dans fon lit; elle crut prendre un- repos, qui fut troublé par l'image de Phraates. Le lendemain il y eut un grand étonnement dans la cour des fées 5 de voir la galerie fi richement parée ) & les belles perles à plein bohTeau.
114 페이지 - Elle s'effraya d'abord ; elle cria : un moment après elle trembla , & rien ne fut capable de la raffurer, que quand elle fentit dans fon cœur autant d'amour qu'elle en avoit mis dans celui du prince. Il lui difoit les plus belles chofes du monde, à quoi elle ne répondit que par un trouble qui donna de l'efpérance au prince.
355 페이지 - Ce pays eft une prefqu'ifle ; il n'eft féparé de celui des Avances , que par une muraille de lait qui atteint jufqu'aux cieux. Il femble que ce n'eft rien ; mais c'eft tout pourtant , & le bronze...