La vie de Marianne, ou Les avantures de Madame La Comtesse de ***.

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Chez Prault, Pere, quay de Gêvres, au Paradis., 1736 - 12ÆäÀÌÁö

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93 ÆäÀÌÁö - Gens renans nos Cours de Parlement , Maîtres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand Confèil, Prévôt de Paris, Baillifs,
2 ÆäÀÌÁö - plufieurs cahiers contenant l'Hiftoire qu'on va lire, & le tout d'une écriture de femme. On me l'apporta, je le lus avec deux de mes amis qui étoient chez moi, & qui depuis ce jour-là, n'ont cefle de me dire qu'il falloit le faire imprimer : je le veux bien d'autant plus que cette Hiftoire
35 ÆäÀÌÁö - l'aurai pas > je vois bien que vous la garderez pour vous. Oui, c'eft ma fille plus que jamais ,.répondit ma bienfaitrice, avec un attendriflement qui ne lui permit de dire que ce peu de mots» & fur le champ elle me tendit une troifiéme fois la main que je pris alors du mieux que je
80 ÆäÀÌÁö - Diantre ! il n'ya rien de tel que d'être orpheline. Et la pauvre fille, ce n'étoit prefque que pour figurer dans l'avanture qu'elle difoit cela, & toute fage qu'elle étoit, quiconque lui en eût donné autant, l'auroit rendue ftupide de reconnoiflance. Laiffez cela, Toinon, lui dit Madame Dutour ; je voudrois bien voir que cela vous
21 ÆäÀÌÁö - vaillant. Le deftin ne tarda pas à me les annoncer, car dans la vie d'une femme comme moi, il faut bien. parler du deftin. Le parent que nous allions trouver étoit mort quand nous arrivâmes, il y avoir, dit-on, vingt-quatre heures qu'il étoit expiré.

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