prieres, encenfemens. Changement arrivé depuis que les Communions cefferent d'être auffi fréquentes que dans les premiers fiecles.. 4.2. 57 ART. III. De quelle maniere fe fait l'oblation dans les Eglifes Orientales. ART. IV. Du foin avec lequel on préparoit autrefois, & on prépare encore aujourd'hui le pain qui doit fervir de matiere au Sacrement d'Euchariftie. Abus fur ce point dans quelques Eglifes. Du pain azyme & du pain levé. Quelles font les Eglifes qui mettent en usage le pain azyme, & depuis quel temps. 70 CHAP. III. De la Confecration des Efpeces. 85 CHAP. IV. De la communion qui fe faifoit pen 99. 116 dant la celebration des faints Myfteres. 98 ART. I. De l'ordre, du lieu de la pofture dans laquelle les Fideles participoient au Sacrement d'Euchariftie. ART. II. Que l'on donnoit anciennement aux Fideles le Corps de Notre Seigneur dans la main. Trois manieres de leur faire prendre le Sang précieux. En quel temps on a ceffé en Occident de communier les Fideles fous les deux efpeces. ART. III. Que l'usage de communier fous les deux efpeces pendant la celebration des faints Myfteres fouffroit fes exceptions. Du chant des Pfeaumes pendant la Communion. En quel temps on s'eft mis fur le pied de donner la Communion aux fideles hors la Meffe fans néceffité. 138 CHAP. V. De la Communion hors les affemblées publiques de l'Eglife. ART. I. Les fideles communioient autrefois dans 153 leurs maifons. Combien cet ufage a duré tant en Orient qu'en Occident. 178 193 154 ART. II. De la communion des malades. Qu'ils communioient quelquefois fous la feule espece du pain, & d'autres fois fous toutes les deux fuivant les differentes circonstances. 165 CHAP. VI. Des temps affectés à la Communion des fideles. Varieté de difcipline fur ce point. CHAP. VII. Que du temps des Apôtres on ne recevoit l'Euchariftie qu'après un repas nommé Agape. De l'ordre qui s'obfervoir dans ce repas. En quel temp. on a fait une regle de communier à jeun. De quelques autres difpo<fitions pour communier. Severité avec laquelle on puniffoit dans l'Eglife & on punit encore à préfent chez les Orientaux les irréverences qui fe commettent contre le Sacrement d'Euchariftie. CHAP. VIII. Des divers ufages de l'Eucharifie chez les anciens. Les Evêques fe l'envoyoient les uns aux autres en figne de communion. On en réfervoit du Sacrifice précedent pour le fuivant. A Rome le Pape l'envoyoit à toutes les Eglifes titulaires. On la pourtoit dans les voyages pour fervir de fauvegarde. CHAP. IX. On continue de parler des divers ufages de l'Euchariftie. Elle étoit réservée pour être confumée par les Prêtres & même par les Evêques pendant les quarante premiers jours de leur ordination. Pour la communion dos morts, pour être enterrée avec les morts. On s'en fervoit pour souscrire la condamnation des beretiques, pour découvrir Les vols, pour la Dédicace des Eglifes. 230 213 CHAP, X. Du lieu & des vaiseaux dans lef- quels on refervoit l'Euchariftie, tant pour la communion des malades, que pour la plu- part des usages dont il a été parlé dans les CHAP. XI. Dans lequel il eft parlé des Fêtes inftituies en l'honneur du très-faint Sacre- ment, en particulier de celle que nous CHAP. XII. Proceffion du faint Sacrement. Que celle qui je fait aujourd'hui à la fète- Dieu ne s'y fai oit pas au commencement. Que néanmoins il fe faifoit de ces proceffions avant l'inftitution de cette fete. De la pro- ment. Depuis quel temps elle a commencé à fe faire. On parle à cette occafion des often- foires tranfparens, de leur antiquité, & de leurs diverfes formes. Des ceremonies princi- pales aufquelles on expofe le faint Sacre- les motifs. Des regles qu'il faut garder dans l'expofition du faint Sacrement, CHAP. XIV. Dans lequel il eft parlé de la dé- votion au S. Sacrement, & en particulier de la Confrairie du S. Sacrement, & de l'intention de ceux qui l'ont érigée & de ceux qui y font entrés les premiers. Pensées judi- cieufes de M. Thiers fur cela. CHAP. XV. De quelques ufages abufifs de l'Eu- chariftie, en particulier de ceux qui ont eté introduits dans ces derniers temps. Du foin Es beretiques qui fe font effor- cés de détruire ou d'affoiblir la puiffance que Dieu a donné à fon Eglife de CHAP. II. Que la rigueur dont quelques Egli- fes ont ufe anciennement à l'égard de cer- tains pecheurs à qui on refufoit la Commu- nion, même à la mort, n'a rien de commun avec les erreurs des Montanistes & des No- CHAP. III. Le for ecclefiaftique n'étoit point au 399 CHAP. I. Qu'il arrivoit quelquefois dans les premiers ficcles de l'Eglife que ceux qui étoient touchés du regret de leurs fautes, con- feffoient même publiquement leurs pechés fe- crets. Devant qui fe faifoit la confeffion pu- CHAP. II. Quels temperammens on apportcit dans la confeffion publique des pechés fecrets. Quand la pratique de les confeffer publique- ment a ceffé dans les Eglifes d'Orient quel temps elle a été abolie en Occident. 435 CHAP. III. Dans les premiers fiecles de l'Eglife on punifoit plus feverement ceux qui étoient convaincus de pechés, s'ils ne s'en étoient pas accufés eux-n devoir de déferer à lEvêque ou au Prêtre celui qui étoit tombé dans quelque faute confiderable. Que faifoit le Pasteur fi celui dont on lui avoit déferé le crime n'en vou-- CHAP. IV. Continuation de la même matiere. Que la coutume de déferer les pecheurs aux Evêques & aux Prêtres s'eft confervée très- long-temps dans l'Eglife: qu'il en reste en- core quelques veftiges aujourd'hui. Du fceau de la Confeffion facramentelle. CHAP. V. De la manniere de fe confeffer chez |