L'Esprit des journaux françois et étrangers, 9-10±Ç1786 |
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28 ÆäÀÌÁö
... chose de célefte qui éloignoit » toute idée de volupté & rempliffoit l'ame » d'un fentiment plus délicieux & plus pur : » il n'infpiroit point de défirs ; il faifoit naître » un faint respect , un penchant plus tendre , plus vif que le ...
... chose de célefte qui éloignoit » toute idée de volupté & rempliffoit l'ame » d'un fentiment plus délicieux & plus pur : » il n'infpiroit point de défirs ; il faifoit naître » un faint respect , un penchant plus tendre , plus vif que le ...
133 ÆäÀÌÁö
... chose en effer , qu'une gomme rouffâtre qui découle de certains arbres . Cette gomme eft un poifon très actif , puifque les ouvriers qui la vont recueillir , lorfqu'elle coule de l'arbre par les incifions qu'on y a faites , ne fe ...
... chose en effer , qu'une gomme rouffâtre qui découle de certains arbres . Cette gomme eft un poifon très actif , puifque les ouvriers qui la vont recueillir , lorfqu'elle coule de l'arbre par les incifions qu'on y a faites , ne fe ...
144 ÆäÀÌÁö
... choses très - raifonna- bles fur le droit qu'auroit l'état d'exiger cette profeffion de foi de fes fujets , fur - tout des nou- veaux qui demanderoient à y être admis ; fur la pernicieuse influence des fauffes idées de re- ligion par ...
... choses très - raifonna- bles fur le droit qu'auroit l'état d'exiger cette profeffion de foi de fes fujets , fur - tout des nou- veaux qui demanderoient à y être admis ; fur la pernicieuse influence des fauffes idées de re- ligion par ...
157 ÆäÀÌÁö
... choses avenues » durant ledit temps . « Il feroit difficile affurément de moins pre- dre le ton de ce qu'on pourroit appeller une Chronique fcandaleufe : auffi cette prétendue chro- nique n'eft - elle autre chofe que le journal d'un bon ...
... choses avenues » durant ledit temps . « Il feroit difficile affurément de moins pre- dre le ton de ce qu'on pourroit appeller une Chronique fcandaleufe : auffi cette prétendue chro- nique n'eft - elle autre chofe que le journal d'un bon ...
242 ÆäÀÌÁö
... 'on n'abhorre lorfqu'on l'a éprouvé , & qu'on ne defire que parce qu'on ne le connoît pas . Mais quand on entend bien le fecret de la tempé •á¦ rance , qui n'eft rien autre chose , mon ami 242 L'ESPRIT DES JOURNAUX ,
... 'on n'abhorre lorfqu'on l'a éprouvé , & qu'on ne defire que parce qu'on ne le connoît pas . Mais quand on entend bien le fecret de la tempé •á¦ rance , qui n'eft rien autre chose , mon ami 242 L'ESPRIT DES JOURNAUX ,
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affez affure ainfi Anaïs auffi avoient avoit befoin Bonneville bouquetin c'eft c'eſt caufe ceffe Cérès chofes chymie c©«ur confeils conferver confidérable connoiffances connoître décemvir défire deftinée déja dieze diftingué donne enfans enfuite eſt étoient étoit faifant fans doute fanté favoir fciences fe trouve fecond fecours fecret felon femble fent feroit fervir feul fiecle fille fimple fociété foin foit fommes fon pere font fous fouvent fucceffions fuccès fuite fuivant fujet fur-tout Germond hiftoire hommes Horgnies intéreffant j'ai jour Journal Journal encyclopédique jufqu'à jufte l'auteur l'hiftoire l'ufage laiffe lefquels Léo lettres livre loix long-tems lorfque LOUIS SERVIN malvacées maniere n'eft n'eſt n'étoit néceffaire obfervations ouvrage paffer paffion paroît penfe perfonnes peuple philofophie plaifir plufieurs poffible polytype préfent prefque premiere propofe puiffe pyrophore quatrieme âge queftion raifon refte Romains Romulus rue du Roule s'eft ſon Tatius tems teur tion Tullus ufage Vauban
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209 ÆäÀÌÁö - LE MOIS DE MAI. LJE premier jour du mois de mai Fut le plus heureux de ma vie. Le beau dessein que je formai Le premier jour du mois de mai! Je vous vis, et je vous aimai. Si...
222 ÆäÀÌÁö - Le prix , qui confifte en une médaille d'or du poids de cinquante ducats , fera donné à celui qui , au jugement de l'académie , aura le mieux réuffi. Les pièces, écrites d'un caractère lifible , feront adreflees à M. le Confeiller privé Former , fecrétaile perpétuel de l'académie...
141 ÆäÀÌÁö - L'ABSENCE. J'Y songerai toute ma vie; Voilà le lieu Où ma tant belle et douce amie Me dit adieu. Chaque jour au même bocage Je viens exprès, Et ne trouve sous le feuillage Que des regrets. Pourtant, moi qui suis tant...
337 ÆäÀÌÁö - Inflrumens qu'on doit y employer d'après les expériences des Auteurs qui les ont imaginées ; des Recettes , Pratiques , Procédés , Médicamens nouveaux , externes ou internes qui peuvent...
122 ÆäÀÌÁö - Tong-king , où l'on ne trouve au moins un Temple élevé à Confucius. On y voit dans l'endroit le plus honorable , la ftatue de ce Philofophe , environnée de celles de fes Difciples...
119 ÆäÀÌÁö - ... il entendit quelques cris confus fortir du fond d'un rocher ; il s'avança vers ce lieu , & apperçut une porte de fer qui fermoit l'entrée d'une grotte. L'ayant fait rompre, il...
119 ÆäÀÌÁö - Bonze , auteur du rapt , voulut enfuite , par une harangue pathétique , faire comprendre au Docteur combien Fo faifoit d'honneur à toute fa famille , en jugeant fa fille digne de fa tendrefle & de fa fbciété.
119 ÆäÀÌÁö - Or, le luxe, qui est l'abondance du superflu chez «certains citoyens, suppose le manque du nécessaire chez «beaucoup d'autres. Plus les riches mettent de chevaux à «leurs chars, plus il ya de gens qui vont à pied; plus leurs « maisons sont vastes et magnifiques , plus celles des pauvres « sont petites et misérables ; plus leur table est couverte de « mets , plus il ya de gens qui sont réduits uniquement à
119 ÆäÀÌÁö - ... et absolue; 2¡Æ la stérilité; 3¡Æ l'adultère; 4¡Æ la jalousie; il s'agit ici « d'une jalousie excessive qui porterait la...
131 ÆäÀÌÁö - C'ett de tous les animaux le plus féroce & le plus léger à la courfe. Si l'on en rencontre quelqu'un, & que, pour fe dérober à fa fureur , on monte fur un arbre, l'animal poufle un certain cri, & à l'inftant on en voit arriver plufieurs autres qui, tous enfemble, creufent la terre autourde l'arbre , le déracinent & le font tomber.