| Molière - 1858 - 736 페이지
...Les rayons du soleil vous baisent trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent ; Dès qu'il les flatte, j'en murmure : L'air même...Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui m'effarouche Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés Mais vous voulez vos sœurs ; allez, partez,... | |
| Molière - 1858 - 728 페이지
...nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte, j'en murmure : L'air même..., sitôt que vous soupirez , * Je ne sais quoi qui m'effarouche Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés Mais vous voulez vos sœurs; allez, parlez,... | |
| Jean Félix Nourrisson - 1858 - 546 페이지
...languissante vers le divin époux, et l'époux lui répond : « Je le suis, ma Psyché, de toute la nature, Et sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui m'eflarouche, Craint parmi vos soupirs des soupirs égarés. • Et pourtant, l'âme s'égarera encore ; Psyché retombera dans ses premiers aveuglements. Mais... | |
| Molière - 1861 - 484 페이지
...nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte, j'en murmure : L'air même...trop près vous touche; Et, sitôt que vous soupirez, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égares. Mais vous voulez vos sœurs; allez, partez, Zéphyre;... | |
| Pierre Corneille - 1862 - 562 페이지
...rayons du soleil vous baisent trop souvent ; 119o Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent : Dès qu'il les flatte, j'en murmure; L'air même que...votre bouche ; Votre habit de trop près vous touche ; 119 5 Et sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui m'effarouche Craint parmi vos soupirs des... | |
| Molière - 1863 - 486 페이지
...nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même...Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés. Mais vous voulez vos sœurs; allez,... | |
| 1863 - 1034 페이지
...Les rayons du soleil vous baisent trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent : Dès qu'il les flatte j'en murmure. L'air même que...votre bouche ; Votre habit de trop près vous touche. L'imitation paraît évidente. Il est vrai que Corneille imite en maître et laisse loin derrière... | |
| Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1863 - 516 페이지
...nature; Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent : Dès qu'il les flatte j'en murmure. L'air même que...votre bouche ; Votre habit de trop près vous touche. L'imitation paraît évidente. Il est vrai que Corneille imite en maître et laisse loin derrière... | |
| 1863 - 1020 페이지
...rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent : Dés qu'il les flatte j'en murmure. L'air même que vous...de plaisir passe par votre bouche ; Votre habit de Irop près vous touche. L'imitation paraît évidente. Il est vrai que Corneille imite en maître et... | |
| Molière - 1864 - 588 페이지
...nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que...Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui m'effarouche , Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés. Mais vous voulez vos sœurs; allez,... | |
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