| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1846 - 612 ÆäÀÌÁö
...d'honneur... LE COMTE Ah I miséricorde ! FIGARO. (Pendant sa réplique, le comte regarde avec attentiou du côté de la jalousie.) En vérité, je ne sais comment je n'eus pas le plus grand succès, car j'avais rempli le parterre des plus excellents travailleurs; des mains... comme des battoirs; j'avais... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1863 - 394 ÆäÀÌÁö
...théâtre meparut un champ d'honneur... LE COMTE. Ah ! miséricorde ! FIGARO. (Pendant sa répliqne, le comte regarde avec attention du côté de la jalousie.)...sais comment je n'eus pas le plus grand succès, car j'avais rempli le parterre des plus excellents travailleurs; des mains... comme des battoirs; j'avais... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1869 - 336 ÆäÀÌÁö
...théâtre me parut un champ d'honneur... . Ah! miséricorde! LE COMTE. FIGARO'. (Pendant sa réplique, le Comte regarde avec attention du côté de la jalousie.)...grand succès, car j'avois rempli le parterre des plus excellens Travailleurs; des mains... comme des battoirs; j'avois interdit les gants, les cannes, tout... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1869 - 378 ÆäÀÌÁö
...LE COMTE. Ah! miséricorde! 1. Variante 10. — 2. Variante 1l. FIGARO '. (Pendant sa réplique, le Comte regarde avec attention du côté de la jalousie.)...grand succès, car j'avois rempli le parterre des plus excellens Travailleurs; des mains... comme des battoirs; j'avois interdit les gants, les cannes, tout... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1871 - 240 ÆäÀÌÁö
...n'eus pas le plus grand fuccès, car j'avois rempli le parterre des plus excellents lr;tvuill¢ârs; des mains... comme des battoirs ; j'avois interdit...gants, les cannes, tout ce qui ne produit que des applaudiffements fourds; & d'honneur, avant la pièce, le café m'avoit paru dans les meilleures difpolltions... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1873 - 204 ÆäÀÌÁö
...miséricorde! riOAiio. (Pendant sa réplique, le comte regarde avec attention du côté de la jalousie.) Tïn vérité, je ne sais comment je n'eus pas le plus grand succès ; car j'avais rempli le parterre des plus excellents travailleurs ; des mains... comme des battoirs ; J'avais... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1874 - 778 ÆäÀÌÁö
...d'honneur... LE CONTE. Ah! miséricorde! FIGARO. (Pendant ta réplique, le comle regarde avec itlenlion du côté de la jalousie.) En vérité, je ne sais comment je n'eus pas le plus grand succès, car j'avais rempli le parterre des plus excellents travailleurs : des mains... comme des battoirs; j'avais... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1876 - 948 ÆäÀÌÁö
...LE COMTE. Ah ! miséricorde ! FIGARO. (Pendant sa réplique, le comte regarde avec attention da cute de la jalousie.] En vérité, je ne sais comment je n'eus pas le plus grand succès, car j'avais rempli le parterre des plus excellents travailleurs; des mains... comme des battoirs; j'avais... | |
| Caron de Beaumarchais - 1876 - 930 ÆäÀÌÁö
...i-iiii' de la jalousie.) En vérité, je ne sais comment je n'eus pas le plus grand succès, car j'avais rempli le parterre des plus excellents travailleurs; des mains... comme des battoirs; j'avais interdit les gants, les cannes, tout ce qui ne produit que des applaudissements sourds ; et... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1878 - 172 ÆäÀÌÁö
...théâtre me parut un champ d'honneur... LE COMTE. , Ah, miséricorde! FIGARO. (Pendant sa réplique, le Comte regarde avec attention du côté de la jalousie.)...sais comment je n'eus pas le plus grand succès ; car j'avais rempli le parterre des plus excellents travailleurs : des mains... comme des battoirs ; j'avais... | |
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