J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. Fables choisies, mises en vers. Reveuës, corrigées & augmentées - 191 ÆäÀÌÁöÀúÀÚ: Jean de La Fontaine - 1705Àüüº¸±â - µµ¼ Á¤º¸
| Vrais Ornements - 1864 - 570 ÆäÀÌÁö
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en aVais nul droit, puisqu'il faut parler net. — A ces mots on cria haro s sur le bsudet. Un loup, quelque... | |
| A P Le Page - 1864 - 326 ÆäÀÌÁö
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque... | |
| J. Delpech - 1866 - 366 ÆäÀÌÁö
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque... | |
| Jean de La Fontaine - 1867 - 640 ÆäÀÌÁö
...syllabes sourdes et les diphtongues sont accumulées avec complaisance. Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net *. A ces mots, on cria haro * sur le baudet. i Parler net. Dans cette confession,... | |
| Jean de La Fontaine - 1867 - 310 ÆäÀÌÁö
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque... | |
| Paul Guesdon - 1867 - 352 ÆäÀÌÁö
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.' A ces mots, on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque... | |
| Jean de La Fontaine - 1868 - 780 ÆäÀÌÁö
..., La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je to/!idis de ce pré la largeur de ma langue; Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots, on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva... | |
| Jean Fleury - 1869 - 176 ÆäÀÌÁö
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue, Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. Cette confession de l'âne est un chef-d'©«uvre. Il a souvenance,... | |
| London univ, exam. papers - 1871 - 294 ÆäÀÌÁö
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net." A ces mots, on cria haro sur le bandet. Un loup, quelque... | |
| Jean de La Fontaine - 1871 - 388 ÆäÀÌÁö
..., "' ' ;rr '' La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue * ; Je n'en avais nul droit , puisqu'il faut parler net; ' , 1. Ce petit vers escamote, comme on l'a remarqué,... | |
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