| Victor Delbos - 1918 - 382 페이지
...à posséder, étaient des dons naturels plutôt que des fruits de l'éducation. Et il ajoutait : « Je me plaisais surtout aux mathématiques à cause...de la certitude et de l'évidence de leurs raisons ; et, pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts mécaniques, je m'étonnais de ce que, leurs fondements... | |
| Victor Delbos - 1918 - 356 페이지
...à posséder, étaient des dons naturels plutôt que des fruits de l'éducation. Et il ajoutait : « Je me plaisais surtout aux mathématiques à cause...de la certitude et de l'évidence de leurs raisons ; et, pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts mécaniques, je m'étonnais de ce que, leurs fondements... | |
| Gustave Cohen - 1920 - 880 페이지
...poésie, dont cependant le charme l'attire, pour se réfugier dans les mathématiques : « Je me plaisois surtout aux Mathématiques, à cause de la certitude et de l'évidence de leurs raisons, mais je ne remarquois point encore leur vray usage et, pensant qu'elles ne servoient qu'aux Arts Mechaniques,... | |
| P. Gonneau, Christian Sénéchal - 1920 - 488 페이지
...d'être les meilleurs poètes, pncore que l'art poétique leur fût inconnu. Je me plaisais surloiyt aux Mathématiques, à cause de la certitude et de l'évidence de leurs raisons, mais je ne remarquais point encore leur vrai usage, et pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts Mécaniques,... | |
| Jacques Chevalier - 1921 - 408 페이지
...; que la philosophie n'atteignant que le vraisemblable doit être tenue pour fausse. Il ajoute : « Je me plaisais surtout aux mathématiques, à cause...de la certitude et de l'évidence de leurs raisons ; mais je ne remarquais point encore leur vrai usage, et, pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts... | |
| Henri Gouhier - 1924 - 348 페이지
...théologie, et nous dit tout simplement qu'il ne se sentait aucune vocation pour ce genre d'études. « Je révérais notre Théologie, et prétendais, autant qu'aucun autre, à gagner le ciel; mais ayant appris, comme chose très assurée, que le chemin n'en est pas moins ouvert aux plus ignorants... | |
| René Descartes, Étienne Gilson - 1925 - 530 페이지
...appellent d'un si beau nom, n'est qu'une insensibilité, ou un orgueil, ou un désespoir, ou un parricide. Je révérais notre Théologie, et prétendais, autant qu'aucun autre, à gagner le ciel ; mais ayant appris, comme chose très assurée, que le chemin n'en est pas 10 moins ouvert aux plus... | |
| René Descartes, Etienne Gilson - 1984 - 148 페이지
...douceur ne laisseraient pas d'être les meilleurs poètes, encore que l'art poétique3 leur fût inconnu. Je me plaisais surtout aux mathématiques, à cause...de la certitude et de l'évidence de leurs raisons; mais je ne remarquais point encore leur vrai usage, et, pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts mécaniques,... | |
| René Descartes, Jean-Luc Marion, Pierre Costabel - 1977 - 378 페이지
...que je méprise semblables niaiseries» (AX, septembre 1629?, AT. I, 21, 17), en écho aussi à DM, «Je me plaisais surtout aux Mathématiques, à cause...de la certitude et de l'évidence de leurs raisons; mais je ne remarquais point encore leur vrai usage, et pensant qu'elles ne servaient qu'aux Arts Méchaniques,... | |
| Felix Atance, University of Western Ontario - 1986 - 152 페이지
...différent de la connaissance rationnelle, avertissant ainsi son lecteur dans le Discours de la méthode : Je révérais notre théologie, et prétendais, autant qu'aucun autre, à gagner le ciel; mais ayant appris, comme chose très assurée, que le chemin n'en est pas moins ouvert aux plus ignorants... | |
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